juillet 2024 - Burgundy School Of Business

Mathilde Drié (BSB’17) : 50 nuances de bleu

Portrait d’une diplômée Responsable du développement prêt-à-porter chez Longchamp

Le saviez-vous ? Le département prêt-à-porter de Longchamp a vingt ans. 400 modèles sont créés chaque année, répartis entre deux collections. C’est là que Mathilde Drié intervient. « Les modèles sont dessinés par notre directrice artistique et son styliste. Avec un collaborateur en charge des matières, je pilote la réalisation jusqu’à la livraison des vêtements à partir du dessin. Cela passe par une série de trois prototypes successifs et le pilotage de nos sous-traitants. C’est très rythmé ! ». 

La mission de Mathilde consiste en une gestion de projets, intégrant une forte dimension technique, mais aussi un contrôle sur les prix et bien sûr un regard pertinent sur les envies des clients. « Auparavant, je suis passée chez Vuitton, dans un rôle essentiellement technique d’industrialisation des collections post-défilés. Chez Balenciaga, en revanche, en tant que coordinatrice de collections, j’avais une fonction de chef d’orchestre, fédérant une diversité de contributeurs ».

Dijonnaise, Mathilde Drié est arrivée à l’école avec beaucoup d’envie, une passion pour la couture et la certitude qu’elle aurait à se battre très fort pour vivre son rêve. « À l’école, j’ai appris deux choses qui ne m’ont plus quittée : la légitimation de mon ambition et la capacité à rester à ma place. Cela peut paraître contradictoire mais c’est en fait à mes yeux le secret pour aller au bout de ses aspirations ».

Mathilde a suivi le Bachelor puis le Master Grande Ecole. « J’ai profité avec méthode de toutes les possibilités offertes par BSB en matière d’enseignement mais aussi d’ouverture internationale. Par exemple, je suis partie en Erasmus en 3e année de Bachelor et effectué une césure aux États-Unis comme jeune fille au pair ». 

Ambition dans une filière d’excellence

Ça, c’est pour la dimension internationale. Côté stages, Mathilde a suivi un cursus classique, commençant par la vente de détail. « Le déclencheur a été mon stage de fin d’année chez Vanessa Bruno, où j’ai été assistante du Responsable Développement. Là, j’ai vécu un tsunami d’informations pendant six mois au sein de l’atelier, en compagnie des mécaniciens, des coupeurs et autres couturières ».  

Déjà loin, BSB, avec ce tsunami et les répliques qui ont suivi ? Que nenni ! « J’attache beaucoup d’importance à me rendre disponible auprès des Alumni et des étudiants. Je réponds toujours aux prises de contact sur LinkedIn, je transmets les CV, j’échange avec des jeunes diplômés. Participer aux jurys d’admission est aussi pour moi une façon de garder un contact fort avec l’école ».

La création du MSc Luxury Management & Innovation n’est, comme on l’imagine aisément, pas passée inaperçue. « J’ai vu avec beaucoup d’intérêt se monter le MSc. Je trouve particulièrement intéressant pour l’école qu’elle prenne ses marques avec ambition dans une filière d’excellence ».

Pour finir, la définition du luxe pour Mathilde Drié : « Le luxe, pour moi, c’est être capable de percevoir la différence entre le bleu Azur et le bleu Roi. Pas toujours évident la première fois mais essentiel pour être respectée par ma Directrice artistique ! »  

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Maxime Herbelin (BSB’08) : A l’heure pour prendre la relève

Portrait d’un diplômé Président de la Maison horlogère jurassienne Herbelin

Connaissez-vous Charquemont ? Charquemont, dans le Doubs, compte 2 800 habitants et autant de passionnés d’horlogerie. À Charquemont, on naît horloger ! Maxime Herbelin est né deux fois horloger. En raison de son origine charquemontaise et à cause de son grand-père, Michel Herbelin, fondateur de la marque éponyme en 1947.

« Avec mon cousin, je représente la troisième génération. Je suis entré dans l’entreprise à ma sortie de l’école et nous l’avons rachetée avec deux autres associés en 2020 à la génération précédente ».  

Son double diplôme en poche, Maxime a un temps envisagé de faire un pas de côté. « Mais l’histoire m’a vite rattrapé. Herbelin défend depuis 77 ans l’industrie horlogère française. Nous employons 50 ouvriers-horlogers dépositaires d’une tradition d’excellence. Ça compte ! ». 

Remontons un peu dans le temps. Pourquoi Dijon, d’abord ? « Pour son dynamisme et ses partenariats internationaux ». Mais une fois dans les murs, Maxime découvre vite que BSB (lui dit l’ESC), c’est aussi une communauté incroyablement riche et solidaire.

« Après ma prépa, j’ai un peu eu l’impression d’entrer dans un monde parallèle. Tout était bien : les relations entre nous, le côté multiculturel, la vie associative, l’engagement des professeurs dans la transmission. J’ai appris à l’école l’autonomie et acquis la capacité à faire des choix ». Le grand saut international, c’est Ithaca College, dans l’État de New-York. « Franchement, j’ai eu envie de passer quelques années aux États-Unis. Mais un poste s’est libéré dans l’entreprise et j’ai rejoint Charquemont ». 

Dire beaucoup et longtemps avec un objet du quotidien

Dans la vie d’aujourd’hui de Maxime Herbelin, BSB reste très présent. D’abord, à travers ses Alumni et ses étudiants. « Nous accueillons avec beaucoup de plaisir les demandes de stage et les alternants. Il y a également plusieurs anciens parmi nos collaborateurs ».

Ensuite, Maxime applaudit des deux mains à la création du MSc Management du Luxe et Innovation. « C’est une excellente idée. La Bourgogne-Franche-Comté est une terre d’excellence. On peut bien sûr penser au vin et à la gastronomie. Mais aussi à tous ces ateliers qui fournissent les grandes maisons. Et évidemment à l’horlogerie et à la bijouterie ».

Et si on entre un peu dans le détail de la formation ? « La place laissée aux intervenants professionnels est très importante dans la crédibilité du MSc. Déjà, lorsque j’étais à l’école, c’est un aspect qui a beaucoup compté pour moi. En entreprise, ça se passe rarement comme sur le papier. Il est très utile que des praticiens d’entreprise portent ce message auprès des étudiants ».   

Le luxe, d’ailleurs. C’est quoi, pour Maxime Herbelin ? «Un objet de luxe, c’est un objet que l’on transmet avec fierté. Le concepteur, le fabricant et l’utilisateur sont responsables collectivement de faire vivre une histoire et des valeurs. Dans le cas d’une montre, il y a en plus le défi d’une surface d’expression réduite. Notre métier est de pouvoir dire beaucoup et longtemps avec un objet du quotidien. Le luxe, c’est ce qui dépasse l’usage et réunit les générations ! »       

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Paris 2024 : le relai 4×100 mètres de 4 diplômées

Morgane Blouët (BSB’18), Pauline Fournat (BSB’18), Camille Jacqmarcq (BSB’93) et Alexandra Jacquot (BSB’21)

Morgane Blouët, Pauline Fournat, Camille Jacqmarcq et Alexandra Jacquot

Paris 2024, c’est une course contre la montre en équipe qui a commencé dès septembre 2017, avec l’attribution officielle lors de la 131e session du Comité International Olympique, à Lima. Depuis, ce fut la fièvre de la préparation. Tout devait être prêt pour accueillir les épreuves à partir du 26 juillet. 

Dans les starting-blocks, quatre compétitrices ont accepté de prendre quelques minutes pour partager leurs impressions, à quelques semaines de la cérémonie d’ouverture…

Morgane est la première à prendre le témoin. « Notre mission est limpide : toute personne accréditée a droit à un logement en fonction de son accréditation. Paris 2024, c’est 700 000 nuitées à garantir ». 

Accréditation ? Alexandra s’élance à son tour ! « Je m’occupe de l’accréditation des agents privés en charge de la sécurité des personnes et des lieux. C’est un travail de fourmi : il faut recenser toutes les personnes par site et identifier précisément ce qu’elles auront à faire ». 

Mais comment arrivent les personnes logées et protégées ? Beaucoup par les aéroports parisiens ! Pauline s’empare du témoin. « Nous prenons en charge les voyageurs accrédités à Orly et à Roissy Charles de Gaulle à partir de 14 jours avant les jeux olympiques et jusqu’à 3 jours après la fin des épreuves paralympiques. C’est un marathon de deux mois, nuit et jour et 7 jours sur 7 ! »

La course monte en intensité ! Le système d’information doit absolument tenir le coup ! Qu’en pense Camille ? C’est elle qu’on aperçoit juste au bout de la ligne droite. « Le département informatique a été créé en 2019. Arrivée en juin 2020, je me suis principalement occupée de la mise en place des outils collaboratifs et de l’automatisation de process informatiques ».   

Pauline prend un virage serré. « En amont, mon travail a consisté à contribuer à la conception des parcours d’accueil et de formation pour les accueillants, salariés et volontaires. Avec un inventaire systématique des cas d’usage pour que l’accueil de chaque personne soit fluide. Grâce à cela, j’ai réellement pris conscience que les jeux olympiques et paralympiques sont une réelle opportunité pour continuer à développer les conditions d’accessibilité de toutes les populations au sein des aéroports parisiens ».

Un TGV lancé à pleine vitesse

Le témoin passe à Morgane. « Nous avons 400 établissements sous contrat. Pour loger les officiels, les médias, les fédérations, les partenaires, les forces de l’ordre, la sécurité privée dont s’occupe Alexandra et les chauffeurs. Ma mission a consisté à donner accès aux destinataires et à régler d’innombrables incompréhensions ou couacs ».  

Camille surgit derrière elle. « Nous avons créé une douzaine d’extranets pour communiquer en direct avec nos nombreux contacts partout dans le monde. Indispensable pour organiser un tel événement ! Mais maintenant, j’ai basculé dans l’opérationnel sur site. Je suis l’adjointe du manager de la technologie sur le site de natation, waterpolo et paranatation Paris La Défense Arena ».

Alexandra allonge sa foulée. « Pour nous toutes, le diable est dans le détail. Le jour J, tout doit avoir été rigoureusement prévu et traité en amont. Par exemple, pour ce qui me concerne, je dois cantonner électroniquement chaque personnel de surveillance, nominativement, dans le périmètre et aux horaires qui correspondent à sa mission. Mais aussi anticiper les imprévus liés à la sécurité ».   

Ces athlètes en plein effort bénéficient heureusement d’une excellente préparation. Pour Camille, le déclic a eu lieu pendant les JO de Los Angeles et les quatre médailles de Carl Lewis. « J’ai gardé ce bonheur absolu en mémoire ». « Moi, j’ai fait 15 ans de tennis et de hand-ball en compétition », raconte Pauline. Elle ajoute : « Le choix de faire de ma passion un métier est sans doute né à Roland-Garros, où j’ai été ramasseuse de balles ».

Morgane a démarré avec 12 ans de gymnastique avant de passer à l’athlétisme. « La machine Paris 2024, c’est un TGV lancé à pleine vitesse. Il faut tenir la distance et rester sans cesse en hypervigilance ! ». Alexandra est passée par le football. « Nous sommes en communication avec un nombre de gens incroyable pour tout régler. Un sport d’équipe m’a aidée à doser chaque échange ».   

Ligne d’arrivée en vue. Il est temps de laisser les coureuses produire leurs derniers efforts… 

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Paris 2024 : la diplomatie de David Dureisseix (BSB’11)

Responsable de partenariats depuis mai 2022

Les partenaires de Paris 2024 sont des acteurs essentiels de la construction et de la réussite des Jeux Olympiques et Paralympiques. Ils peuvent être Partenaires Mondiaux (membres du programme TOP du CIO) ou Partenaires Nationaux (Premium, Officiels ou Supporteurs).

Les partenaires contribuent financièrement ou techniquement à la réussite des Jeux de Paris. Ils sont les ambassadeurs de la vision Paris 2024 auprès de leur écosystème. Ils mobilisent leurs collaborateurs, clients et partenaires et s’impliquent dans le développement de projets, en ligne avec la stratégie d’héritage et de durabilité de l’événement.

David Dureisseix pilote un portefeuille de 24 partenaires privés. Il les accompagne dans la « livraison et l’activation de leurs droits ». Sportif dans l’âme, David réalise un rêve de jeunesse au sein de l’équipe Paris 2024. Son recrutement est un modèle de ténacité :

« En 2017, j’avais suivi mon épouse au Japon où j’ai exercé 1 000 métiers et surtout tissé du réseau. J’ai pris l’initiative de proposer une étude sur le modèle de Tokyo 2020 à la Directrice des Partenariats de l’époque, mettant en avant mon entregent et ma présence sur place. Mon idée ne l’a pas séduite mais cette suggestion l’a suffisamment marquée pour que j’obtienne un rendez-vous de retour en France huit mois plus tard ! »

Sa créativité et ses qualités relationnelles ont plaidé pour lui. Mais ce n’était évidemment pas le seul atout de David Dureisseix ! « Déjà, j’ai fait BSB après une licence de sport. La dimension business du sport est mon moteur professionnel depuis toujours ».

Gestion des limites

Dans le cadre de BSB, une alternance en marketing bancaire pendant 18 mois s’avère particulièrement formatrice. Pas sportif, le marketing bancaire ? Parlez-en à BPCE, Partenaire Premium de Paris 2024 ! Quelques années en agence de conseil en marketing sportif puis à travailler sur les événements au sein de RMC Sport révèlent de solides dispositions. 

Mais alors, c’est quoi, la mission de David au sein de Paris 2024 ? « Pendant longtemps, avec mon équipe de sept personnes, notre job consistait à concrétiser et à délivrer les contreparties contractuelles, comme les accréditations, les hébergements ou les places dans les différentes enceintes. Il s’agissait de garantir le respect scrupuleux de nos obligations figurant dans des contrats d’une centaine de pages à chaque fois ».

Depuis janvier 2023, la deuxième phase de la mission est activée : « Nous veillons à la fois à la protection des droits exclusifs des partenaires et au respect des périmètres contractuels par chacun des acteurs. En clair, nous analysons entre 1 000 et 1 200 initiatives marketing chaque mois, déposées sur la plateforme d’approbation. L’intérêt de notre travail est dans la gestion des limites. Echanger beaucoup autour des campagnes publicitaires, accepter un peu de créativité mais savoir dire non, même aux partenaires les plus influents. Il en va de la crédibilité de notre programme de partenariat et de l’intégrité de la vision de Paris 2024 ».  

Bref, un sacré sport au quotidien ! Justement, quel sportif est David Dureisseix ? « J’ai pratiqué le football à un bon niveau. D’ailleurs, mes deux moments charnières sont la coupe du monde 1998, et la fièvre qu’elle a générée. Et l’Euro 2016, avec le silence qui a suivi la défaite. Aujourd’hui, je fais du marathon et du triathlon ».  

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Paris 2024 : interview ping-pong de deux diplômés

Clément Sanchez (BSB’22) vs Yannick Rannou (BSB’08)

Paris 2024, c’est quarante-cinq sports, dont quatre nouveaux : l’escalade sportive, le breaking, le skateboard et le surf. Les meilleurs spécialistes mondiaux se mesurent dans chaque discipline. 

Mais que se passe-t-il si l’on demande à deux cyclistes de lâcher le guidon pour une raquette de ping-pong ? Yannick Rannou (BSB’08), Chef de Projet Senior Mountain Bike, et Clément Sanchez (BSB’22), coordinateur événementiel d’une partie des épreuves cyclistes, entament un match. 

Tes premiers coups de pédale…

Yannick Rannou : « Le VTT dans le Jura, inspiré par la nature et stimulé par mes parents, eux-mêmes très sportifs. Qui m’a conduit jusqu’à l’équipe de France dans les années 2000. Et à la deuxième place du raid Hannibal avec l’équipe de l’ESC Dijon. »

 Clément Sanchez : « Je fais beaucoup de cyclisme sur route. Mais je suis passionné de sport en général. Par exemple, je garde un souvenir incroyable de la victoire des Canaris à la Coupe de France 2022. »

Ta mission à Paris 2024…

Clément Sanchez : « Je coordonne l’accueil événementiel sur les sites et l’organisation des compétitions sportives de cyclisme sur piste, de BMX Racing et de Mountain Bike (VTT). »

Yannick Rannou : « Rattaché à la direction des sports au sein de Paris 2024, je gère les opérations techniques sur la piste de VTT et dans les espaces sports. Je suis en lien avec les équipes nationales, la fédération internationale, les partenaires techniques et nos volontaires. »

Les passages difficiles…

Yannick Rannou : « Nous partons de rien. Il fallait aménager la colline d’Élancourt, une ancienne carrière, de façon à y tracer un parcours top niveau et y associer des zones techniques et conviviales au standard JO. »

Clément Sanchez : « La multitude d’interlocuteurs. Coordonner est une épreuve à plein temps quand il faut traiter avec les fédérations, les équipes travaux, les équipes attachées à chacun des sites, le légal, les finances, le développement durable et même les supporters ambianceurs. »

L’entrée dans la lumière…

Clément Sanchez : « La livraison des espaces était fixée à mi-juillet. Nous avons eu la chance en amont de pouvoir tester le BMX et le VTT en conditions réelles, avec même une jauge réduite pour le VTT. Les retours ont été très bons. »

Yannick Rannou : « Fin septembre nous avons organisé un Test Event grandeur nature avec les meilleurs athlètes du monde et des spectateurs pour tester différents paramètres. Une expérience précieuse en vue des Jeux. » 

Les coulisses de l’exploit…

Yannick Rannou (en t-shirt blanc) avec Victor Koretzky (équipe de France de VTT Cross Country) et Tony Estanguet.

Yannick Rannou : « Tous les curseurs sont poussés au maximum. C’est vraiment une expérience unique. Pas de place pour l’improvisation. Les athlètes aussi ont beaucoup de pression. C’est souvent la course d’une vie. » 

Clément Sanchez : « Le nombre de spécialistes et d’experts qui auscultent chaque détail. Cette exigence extrême nous rappelle au quotidien combien les Jeux Olympiques constituent un événement hors normes.» 

Le plus bluffant…

Clément Sanchez : « La brièveté de la course relativement aux trois années de préparation. C’est trois ans de travail minutieux pour trois heures de course. »

Yannick Rannou : « Si on s’éloigne du VTT, je trouve que les performances des athlètes paralympiques sont époustouflantes aussi. Une immense leçon d’humilité. »

Vélo ou pas, quels pronostics ?

Clément Sanchez : « Léon Marchand (natation) et Armand Duplantis (saut à la perche) s’imposent grâce à l’immense maîtrise de leur sujet. Les judokas français raflent tout et les frères Lebrun (ping-pong) arrivent au sommet. »

Yannick Rannou : « On revient au VTT. C’est Victor Koretzky qui gagne. Un funambule sur son vélo. Et, bien sûr, Pauline Ferrand-Prévot chez les filles ! »

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Paris 2024 : la flamme de Delphine Moulin (BSB’11)

Directrice des Célébrations depuis mai 2022

La direction des Célébrations des Jeux Olympiques Paris 2024 a pour mission de proposer quatre mois de festivités, accessibles et sans billet, sur tout le territoire, à travers trois grands projets :

  • L’organisation du relais de la flamme : 69 jours, 11 000 porteurs et plus de 450 villes traversées
  • L’accompagnement des collectivités et des partenaires dans l’animation des clubs 2024 et des événements gratuits, pour apporter la magie des jeux dans les territoires et pour toutes les générations.
  • L’organisation du Parc des Champions, qui accueillera les médaillés internationaux olympiques au pied de la Tour Eiffel pour célébrer l’émotion de leur victoire avec leurs fans, le lendemain de leurs exploits.

Le parcours olympique de Delphine Moulin a commencé avec le dossard 27. 27, comme son rang d’arrivée au sein de Paris 2024, en avril 2018. Le secret de sa performance ? Une bonne préparation ! « Je travaille pour le mouvement olympique depuis les Jeux Olympiques d’Athènes de 2004. Ça fait pas mal d’olympiades, en hiver et en été ! Et sur de grands événements sportifs internationaux depuis 2001. »

Mais Paris 2024, c’est quand même spécial. Au moins pour deux raisons. « Il y a d’abord le fait de travailler en France. C’est évidemment une grande fierté. Mais aussi en raison de ma mission. En tant que Directrice des Célébrations, j’anime l’équipe de plus de 100 personnes en charge de la réussite de la dimension populaire et durable de Paris 2024. »

Que la magie des Jeux opère

Le succès, c’est collectif. Quel coach est Delphine Moulin ? « Je manage une équipe interne d’une quarantaine de personnes, enrichie d’à peu près 80 personnes employées par nos agences partenaires. Je multiplie les réunions et les visites de terrain pour que chacun s’approprie pleinement sa mission et sa contribution aux objectifs communs. » 

Delphine Moulin entourée de Tony Estanguet (Président Paris 2024) et Mathieu Lehanneur (designer et créateur de la torche et de la vasque de Paris 2024). Crédit- Paris 2024 _ Cedric Bufkens 

Dans le haut niveau, la qualité de l’équipement et la rigueur des entraînements font la différence, c’est connu. Elle-même ancienne sportive de haut niveau*, Delphine s’implique à fond dans les temps forts de la préparation. « J’ai tenu par exemple à visiter chacun des trois sites Arcelor Mittal qui produisent la torche à partir d’acier 100 % recyclé. J’ai aussi passé beaucoup de temps à Marseille et à Brest pour superviser l’organisation des phases critiques du parcours de la flamme, entre l’arrivée du Belem parti d’Athènes et le départ du trimaran skippé par Armel Le Cléac’h pour les Antilles. »  

Tenir la distance est aussi la force de Delphine Moulin, ses performances en ski de randonnée ou en surf sont là pour le démontrer. « Nous avons consacré beaucoup d’énergie à définir nos objectifs et à donner un sens compris par tous à notre vision. Ensuite, il a fallu planifier et organiser les événements. La dernière phase, pendant les Jeux, est de veiller partout à ce que la magie des Jeux opère sur tous les territoires. Et que la France y puise un nouvel élan ».

Et la reconversion, on en parle ? « Après les Jeux, je réactive ma société de consulting sport et culture. Car ma passion est de créer des ponts entre ces deux univers. Ce que nous avons d’ailleurs réussi à faire avec ma collègue à la Direction Culturelle de Paris 2024 ».

* Tennis en nationale 3, volley en nationale 3 et golf en championnats de France.

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Recherche : BSB engagée dans le projet européen VALERECO sur la durabilité...

Lancement de ce projet visant à exploiter le potentiel des légumineuses

BSB est partie prenante du projet de recherche VALERECO, financé par le programme Horizon Europe, qui rassemble 15 partenaires issus de 11 pays. Parmi eux, l’Agricultural University of Athens représentée par Ilias Travlos, coordinateur du projet. BSB est engagée via sa School of Wine & Spirits Business et son Centre de Recherche sur les Entreprises (CEREN – EA 7477).

Les 17 et 18 juin dernier s’est tenu à Athènes la réunion de lancement du projet donnant le coup d’envoi à 4 années de recherche. Plus de 40 participants, dont l’équipe de BSB composée de Lara Agnoli, (responsable scientifique), Nikolaos Georgantzis, Effrosyni Vasileiou, Magalie Dubois (Axe de Recherche Wine & Spirits) et Cécile Schweitzer (manager de projet) ont pris part à des discussions approfondies autour des questions de durabilité, de productivité et de résilience des systèmes agricoles en lien direct avec les objectifs du projet.

Étude du comportement pour BSB

VALERECO vise à mettre en évidence les avantages souvent négligés des légumineuses et à encourager leur intégration dans les systèmes de culture, dans une optique de gestion durable de la production agricole. La pluridisciplinarité des partenaires permettra une meilleure compréhension et adoption des cultures de légumineuses en quantifiant et en améliorant la valeur environnementale et économique des services écosystémiques (SE) rendus par ces cultures.

Le projet accompagnera les agriculteurs et les conseillers agricoles dans leur connaissance et leur capacité à inclure huit légumineuses majeures et quatre légumineuses mineures dans leurs programmes de culture, tout en les sensibilisant à l’impact écologique et économique positif de ces cultures. BSB a notamment la charge d’identifier les obstacles et les leviers principaux à actionner pour induire un changement de comportement au sein des filières légumineuses.

Pourquoi les services écosystémiques rendus par des légumineuses sont-ils importants ?

L’incorporation des légumineuses dans les systèmes de culture offre des bénéfices agronomiques significatifs, qui pourraient devenir un levier très puissant pour améliorer la santé des sols, contribuer à la biodiversité et réduire les besoins en engrais synthétiques. Cependant, de nombreux agriculteurs sous-estiment souvent leur potentiel ou n’en ont pas conscience.

VALERECO identifiera et mesurera les SE rendus par les légumineuses dans différents systèmes de culture (i.e. les cultures principales dédiées à l’alimentation humaine ou animale, et les cultures secondaires telles que les cultures de couverture ou les paillis vivants). Le projet évaluera trois légumineuses majeures (soja, pois, pois chiche), cinq fourrages majeurs (vesce, trèfle, trèfle blanc, trèfle rouge, luzerne), un fourrage mineur (sulla) et trois légumineuses à grains mineures (lupin, féverole, lentille). Elles peuvent être annuelles ou pérennes et peuvent être cultivées seules ou en combinaison avec d’autres cultures.

Approche globale, démarche multi-acteurs

VALERECO adopte une approche globale, reposant sur le triptyque « Identifier – Valoriser – Diffuser » les SE rendus par les légumineuses, afin d’accélérer le transfert des connaissances et des ressources et, leur traduction en solutions innovantes nécessaires à une culture efficace des légumineuses. Cette approche comprend :

  • L’identification : analyses approfondies des SE existants et recherche des moyens d’intégrer les légumineuses dans la nouvelle politique agricole commune (PAC).
  • La valorisation : mise en place de 9 Living Labs dans 6 pays européens afin de promouvoir l’adoption des légumineuses par le biais de stratégies de changement de comportement, d’essais participatifs et de démonstrations de solutions techniques et économiques.
  • La diffusion : création d’un hub numérique sur les légumineuses (DLIH), d’un système d’aide à la décision (DSS) et d’une plateforme d’apprentissage en ligne pour améliorer le transfert des connaissances et accompagner les agriculteurs et les conseillers.

VALERECO suit une démarche multi-acteurs impliquant l’ensemble des actrices et acteurs du secteur agricole (agriculteurs, conseillers agricoles, chercheurs, secteur industriel, décideurs politiques et consommateurs) lors d’activités de co-création et d’événements de démonstration. Par ailleurs, il fournira des recommandations politiques, et diffusera les résultats de la recherche auprès d’un large public.

Crédit photos : reframe.food

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Ultime étape en Crète pour le MBA après une année de...

Des expériences de terrain au plus près des professionnels du monde entier

L’année s’est conclue récemment, pour la promotion du MBA Wine & Spirits Business de la School of Wine de BSB, par la quatrième édition du Greek Wineries Project. Cette immersion dans l’univers des vins grecs offre aux participants une opportunité unique de mener des missions de consulting international afin de développer des stratégies export très concrètes pour des vignobles grecs. C’est le point d’orgue d’un parcours rythmé par de nombreuses Learning Expeditions, éléments clefs de la pédagogie du programme.

Immersion dans l’univers du vin crétois pour le 4e Greek Wineries Project

Les 22 étudiants de 7 nationalités différentes du MBA Wine & Spirits Business de la School of Wine de BSB ont participé ces derniers mois à la quatrième édition du Greek Wineries Project. En partenariat avec la Fédération hellénique des vins, la principale organisation des producteurs de vin grecs (65% en volume, 80% des exportations nationales), le programme s’est concentré cette année sur la Crète.

Après une évaluation introductive du panorama viticole grec couvrant des aspects clés tels que la durabilité, l’œnotourisme et la position des vins grecs sur les principaux marchés mondiaux, les étudiants se sont lancés dans une étude détaillée d’une sélection de producteurs partenaires situés en Crète. Quatre domaines familiaux ont été étudiés en détail : Diamantakis Winery, Idaia Winery, Lyrarakis Winery et Titakis Winery. En étroite collaboration avec les propriétaires et les viticulteurs de chacune des caves, une série de plans commerciaux et de marketing complets ont été compilés par les étudiants.

En outre, un autre groupe d’étudiants, en partenariat avec l’interprofession locale Wines of Crete, a étudié la diversité unique et riche des terroirs, des cépages et des styles de vin que la Crète offre et a évalué les possibilités de promotion et de commercialisation des vins crétois à l’échelle internationale.

Echanges fructueux sur le terrain

Un voyage intensif de 4 jours en Crète fin mai a permis aux étudiants de présenter leurs conclusions aux producteurs et à Wines of Crete, avec qui ils ont pu longuement discuter d’un large éventail de questions soulevées dans le cadre du projet. Le séjour a également été l’occasion de visiter les quatre domaines en question, d’autres à travers l’île tels que Zacharioudakis Winery et Paterianakis Winery, et effectuer des dégustations avec Douloufakis Winery et Miliarakis Winery.

« C’est une merveilleuse occasion de comprendre, sur une période de plusieurs mois, les trésors que la Crète a à offrir en termes de terroirs variés et de cépages indigènes », explique Chris McIndoe, responsable du module. « Les vignobles de Crète peuvent être fiers de leur riche héritage mais aussi des progrès réalisés en matière de qualité au cours des dernières années. »

Jacques Thébault, Directeur du MBA, ajoute : « La relation forgée entre la School of Wine de BSB et la Fédération hellénique des vins continue de se renforcer et tous les étudiants impliqués dans le Greek Wineries Project ont fait preuve une nouvelle fois d’un grand engagement. Les expériences proposées par nos amis de Wines of Crete tout au long de l’année et via ce voyage ont donné aux étudiants un aperçu fascinant de l’industrie vinicole grecque, ce qui s’avérera inestimable dans leurs futures activités. »

Les Learning Expeditions, pilier pédagogique du MBA

« Le Greek Wineries Project est l’une des Learning Expeditions phares de notre MBA », poursuit Jacques Thébault. « Celles-ci sont un élément clef de la pédagogie au sein de notre programme, qui vise à donner aux étudiants une vision très globale et complète de ces marchés très internationalisés. » Les autres Learning Expeditions du MBA :

  • Wine Tourism Expedition en novembre : 4 jours de visites de domaines dans le Maconnais, Beaujolais et la vallée du Rhône avec des échanges très complets sur la philosophie des domaines (viticulture, œnologie, business) et la place de l’œnotourisme au sein de ceux-ci ;
  • Online UK/London Learning Expedition en février : 2 jours d’entretiens avec des VIPs du secteur ;
  • Germany Prowein-Geisenheim Learning Expedition en mars : 3 jours à Prowein, à la découverte du plus grand salon B2B vin et spiritueux du monde, et rencontres avec les professeurs de Geisenheim, en particulier autour du thème de la viticulture de précision ;
  • New York City Learning Expedition en avril : 1 semaine à la rencontre de top executives du secteur (importateurs, grossistes, détaillants, sommeliers, producteurs, agence de communication, etc.) ;
  • Champagne Wine & Law Seminar en avril : 1 semaine de découverte des maisons de Champagne et séminaire de droit et vin en partenariat avec l’Université de Champagne ;
  • Au cours de l’année, 5 journées ont lieu sur le terrain :  atelier vin et parfum à Meursault ; viticulture ; œnologie ; visites de domaines bourguignons prestigieux ; distilleries.
Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

BSB réaccréditée AACSB pour 6 ans

BSB vient d’être réaccréditée AACSB pour la durée de 6 ans. Le label américain AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business) est l’une des accréditations internationales de référence pour les business schools – avec EQUIS, dont BSB a également obtenu la réaccréditation pour 3 ans en 2022, et l’AMBA, décrochée en 2023.

BSB confirme ainsi sa place parmi les meilleures business schools françaises et internationales – moins de 1% des business schools du monde sont triple accréditées AACSB/EQUIS/AMBA. L’obtention de cette réaccréditation est le résultat d’un audit rigoureux qui a permis d’évaluer la conformité de l’Ecole à des standards élevés en termes académiques, institutionnels et pédagogiques.

L’équipe d’audit a ainsi pu souligner quelques éléments saillants de l’excellence de BSB :

  • La qualité de la gouvernance de l’école selon un modèle original qui permet une réelle autonomie de l’institution.
  • Le modèle d’accompagnement des étudiants avec les différents dispositifs mis en place :  Pathfinder, qui accompagne les étudiants dans leur parcours académique et dans la construction de leur projet professionnel jusqu’à leur premier job ; le One Health Center, qui assure un développement personnel harmonieux des étudiants (la santé physique et mentale comme fondement d’une meilleure qualité d’études) ; la Fondation BSB en tant que support pour les étudiants. Les auditeurs ont souligné la vision foncièrement centrée sur l’étudiant de BSB.
  • La qualité et l’engagement du corps professoral, en accord avec les valeurs de l’école et la qualité des développements et innovations pédagogiques au service des étudiants.
  • La qualité et l’engagement des alumni qui sont restés proches de l’école et sont parties prenantes au quotidien des dispositifs mis en place au service des étudiants, tant dans le cadre de la Fondation BSB que pour le partage d’expérience ou d’expertises métiers.
  • La qualité de la recherche de l’école, qui traduit l’engagement de BSB dans une dynamique de développement durable et de responsabilité sociétale.

« Cette réaccréditation vient valider les efforts que nous n’avons cessé de fournir ces dernières années pour développer l’Ecole », se félicite Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB. « Elle conforte notre ambition et appuie en ce sens le plan stratégique UP 2027 présenté fin 2022. Cela récompense également l’engagement de toutes nos parties prenantes : salariés, étudiants, diplômés, partenaires et actionnaires. »

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.