janvier 2023 - Burgundy School Of Business

Dimitris Assimakopoulos rejoint BSB pour lancer un Global DBA

Un programme doctoral d’importance dans le nouveau plan stratégique de l’École

Dimitris Assimakopoulos rejoint BSB et aura pour mission principale de lancer un Global DBA (Doctorate of Business Administration) dans les prochains mois.

D’origine grecque et disposant de la double nationalité hellénique et britannique, Dimitris Assimakopoulos est professeur en management de la technologie et de l’innovation. Il intègre ainsi le département Digital Leadership de BSB. Titulaire d’un PhD de l’Université de Sheffield et d’une HDR de l’Université de Grenoble, il a notamment exercé à Grenoble Ecole de Management et à l’EM Lyon Business School.

Ses recherches ont pu porter sur l’innovation responsable et le NPD (New Product Development) dans l’économie de la connaissance, la gestion des réseaux sociaux dans la collaboration en matière de R&D, les origines et l’évolution des communautés technologiques dans les clusters régionaux émergents basés sur la connaissance, les écosystèmes d’innovation industriels dans l’UE, aux États-Unis, le Royaume Unis, ou encore en Chine.

Directeur du Global DBA de BSB

Président de l’EDAMBA (European Doctoral programmes Association in Management & Business Administration) depuis 2013, il est donc expert en encadrement doctoral, à la fois sur les dimensions stratégique et pratique. Une expérience qui lui sera précieuse pour le lancement prochain du Global DBA de BSB. Ce programme doctoral de 3 à 5 ans en part-time, avec une forte dimension de recherche appliquée, s’adressera à des profils professionnels expérimentés : cadres et dirigeants d’organisations privées, publiques et associatives.

« Nous sommes ravis d’accueillir Dimitris, dont l’expertise va permettre de faire passer un cap à l’Ecole avec le lancement à venir de ce Global DBA » se félicite Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB. Nicholas Paparoidamis, Directeur académique et de la Recherche de BSB, ajoute : « Dimitris rejoint notre famille, sur le campus lyonnais, en tant que directeur de notre Global DBA, et c’est un grand plaisir pour nous. Son expérience et son profil académique seront les moteurs de cet important projet stratégique pour BSB. »

« Je suis enchanté de rejoindre BSB dans une phase aussi dynamique de sa croissance et de son développement stratégique », se réjouit Dimitris Assimakopoulos. « Le BSB Global DBA va permettre de façonner des leaders d’opinion et de produire une recherche à impact. Il contribuera ainsi à relier certains des principaux domaines de recherche de l’Ecole – l’innovation numérique et responsable, le management vert et durable, les food & agri tech, le vin et les spiritueux – aux besoins sociétaux plus larges. Et cela en répondant aux grands défis auxquels nos sociétés et nos économies sont confrontées en Europe et dans le monde. »

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Les associations de BSB en formation

Un programme spécifique à destination des membres des bureaux

BSB vient de mettre en place un programme de formation spécifique à destination des membres des bureaux des associations : présidents, vice-présidents, secrétaires, trésoriers et responsables communication.

« Ce programme s’articule en deux temps : d’abord une journée de team building qui s’est tenue mi-janvier, puis une journée de formation technique qui aura lieu en mars », explique Alexandrine Bornier, Responsable du Département DAP (Développement et Accompagnement Personnels).

La journée de team building a pour but de permettre aux étudiants de mieux se connaître eux-mêmes, de mieux se connaître entre eux et de développer la relation à l’autre. Animés par des acteurs-formateurs, les ateliers invitent les étudiants à construire leurs boîtes à outils à travers différentes expériences.

« Les compétences visées ont trait à l’écoute de soi et des autres, au savoir être et au savoir-faire, à la perception et à l’acceptation de l’image de soi, à la confiance en soi et à la bienveillance, à la co-responsabilité via la co-construction et le partage, au lâcher-prise, à la réactivité et à la spontanéité, aux langages verbal et non verbal, et encore au libre arbitre et à l’affirmation de soi : trouver sa place dans le groupe, respecter celle des autres, accepter ses propres différences et s’enrichir des différences », détaille Alexandrine Bornier.

« Et ce que nous avons pu constater de cette première journée est très positif ! Ce qui ressort majoritairement, c’est que les étudiants sont sortis de leur zone de confort, ont osé aller les uns vers les autres. Pour les étudiants quelque peu timides, cette formation leur a permis d’oser s’exprimer face aux autres. Chacun a pu gagner en confiance en lui. »

Développer les futurs managers grâce à la vie associative

En mars, ces étudiants bénéficieront d’une journée de formation technique, avec des ateliers animés par des professionnels des différents secteurs. Elle aura pour but d’apporter des compétences techniques en fonction du poste occupé dans l’association : management d’équipe et gestion de projet pour les présidents ; gestion de projet et recherche de sponsors pour les vice-présidents ; organisation et gestion de son temps et de celui des autres pour les secrétaires ; construction de budget et suivi de trésorerie pour les trésoriers ; et utilisation efficace des différents outils de communication pour les responsables communication.

« Participer à la vie associative de BSB est un levier important pour la construction du profil de manager des étudiants. C’est l’occasion de mettre en pratique les enseignements reçus dans le cadre des programmes, d’en comprendre les interactions et surtout de tester ses compétences personnelles et professionnelles en travaillant en groupe », poursuit Alexandrine Bornier.

« Si l’on considère cette vertu pédagogique de l’engagement associatif, il est de notre responsabilité de compléter les outils mis à disposition de nos étudiants pour qu’ils puissent s’investir pleinement et mener des projets avec réussite », conclut-elle.

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Le programme BSB Humanities s’enrichit

Un semestre d’humanités dans quatre prestigieuses universités internationales pour les étudiants de BSB

Campus de Hong Kong Baptist University

Lancé en 2019 en partenariat avec l’Université McGill à Montréal (Québec, Canada), le programme BSB Humanities donne l’opportunité aux étudiants du Master Grande Ecole (MGE) de BSB de vivre une expérience unique : ils peuvent ainsi suivre en Master 1 un semestre de cours en gestion et en humanités – culture générale, art, philosophie, sciences politiques, etc. – sur le campus de ce partenaire (31e université au monde et n°1 au Canada*).

A partir de la rentrée prochaine, outre McGill, ce sera au sein de trois autres prestigieuses universités internationales, partenaires de BSB, que les étudiants pourront se rendre dans le cadre de BSB Humanities :

  • Trinity College Dublin (Irlande), 98e université au monde et n°1 en Irlande*
  • Hong Kong Baptist University, dans le Top 20% des meilleures universités du monde*
  • l’Université de Florence (Italie), dans le Top 33% des meilleures universités du monde*

Ouverture interculturelle et appréhension de la complexité du monde

« Cette mobilité très spécifique est sélective puisque les étudiants seront sélectionnés par BSB sur l’excellence de leurs résultats académiques et leurs scores d’anglais, mais il n’y aura pas de droits de scolarité supplémentaires pour effectuer ce semestre », détaille Claudia Sampel, Directrice des Relations Internationales de BSB. « C’est une grande satisfaction de pouvoir élargir l’offre de destinations de prestige dans le cadre de BSB Humanities, parcours qui est très attractif pour nos étudiants » précise-t-elle.

« C’est un vrai plus que nous leur proposons », poursuit Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB. « Dans un environnement toujours plus complexe et en mutation permanente, nous prenons le parti de renforcer la culture générale et l’ouverture intellectuelle, grâce à ce type d’expériences interculturelles qui permettent de s’enrichir de visions nouvelles de la société et de découvrir de nouvelles méthodes pédagogiques et collaboratives. Au-delà des cours de management qui demeurent essentiels pour former des managers experts, nous pensons que ces dimensions sont essentielles pour comprendre et appréhender la complexité du monde à venir, et s’y adapter. »

*QS World Ranking 2023

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Environnement et réalité augmentée : lancement du projet Be∙aware

9 enseignants-chercheurs de BSB mobilisés dans ce projet de recherche collaboratif

Be∙Aware, projet collaboratif financé par l’ANR (Agence Nationale de la Recherche), a été lancé au centre Inria à Bordeaux du 9 au 11 janvier derniers. Cette initiative, qui se propose de rapprocher les questions environnementales du public grâce à la réalité augmentée, réunit trois équipes françaises travaillant dans les domaines de l’IHM (Interface Homme-Machine) et la Visualisation, l’économie expérimentale et les sciences de l’environnement : l’équipe-projet Potioc (Inria, Université de Bordeaux, CNRS) à Bordeaux, le LESSAC (Laboratoire d’Expérimentation en Sciences Sociales et Analyse des Comportements) de BSB à Dijon et le CIRED (Centre international de recherche sur l’environnement et le développement) à Paris.

Démarré à l’automne 2022 pour une durée de 4 ans, ce projet explore comment les systèmes de réalité augmentée (RA) peuvent réduire la distance spatiale et temporelle entre les choix des individus et leur impact environnemental. Des visualisations interactives sont conçues, qui intègrent des conséquences environnementales concrètes directement dans l’environnement des gens. Par exemple : l’accumulation de déchets ou encore l’extraction de matières rares. Cette recherche interdisciplinaire sera nourrie et validée par des expériences d’économie comportementale incitatives et contrôlées, basées sur les modèles de la théorie des jeux, et sera guidée par des données et des scénarios environnementaux réels.

9 membres de l’équipe de chercheuses et chercheurs de BSB sont impliqués dans le projet : Angela Sutan,responsable scientifique, Ivan Ajdukovic, Xavier Gassmann, Andrea Guido, Andrea Martinangeli et Eli Spiegelman de l’Axe Décisions et Comportements ; Fortuna Casoria et Julie Rosaz de l’Axe Digital Leadership ; et Eleonora Montagner de l’Axe Arts and Cultural Management. La plupart ont participé à la réunion de lancement qui s’est tenue au Centre Inria (Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique) de l’université de Bordeaux du 9 au 11 janvier (photo).

Site web du projet Be∙aware : https://beaware.inria.fr/fr/

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BSB devient membre de FNEGE Médias

Depuis le 1er janvier 2023, BSB est membre de FNEGE Médias. Cette initiative originale portée par la FNEGE (Fondation Nationale pour l’Enseignement de la Gestion des Entreprises) avec le soutien de différents établissements d’enseignement supérieur de gestion et de management, a pour vocation d’être la vitrine de la production des écoles de management françaises en matière de recherche, de pédagogie et d’expertise dans le domaine du management.

FNEGE Médias rend ainsi disponible, pour tous, des connaissances en gestion et en management produites par des enseignants-chercheurs, reconnues de qualité sous le Label FNEGE. La plateforme promeut les initiatives à vocation pédagogique ou les recherches des établissements d’enseignement supérieur de management français, sous formes de vidéos et de podcasts.

« Je suis ravi de lancer cette collaboration avec FNEGE Médias », se réjouit Nicholas Paparoidamis, Doyen Académique et de la Recherche à BSB. « Au sein de l’Ecole, nous développons des projets de recherche et de pédagogie qui reflètent notre excellence académique dans tous les domaines du management, et FNEGE Médias est la plateforme idéale pour héberger et partager avec efficacité notre production scientifique, en particulier auprès du monde académique, des entreprises et de la société plus globalement. »

Une première vidéo estampillée BSB a été publiée récemment : « L’innovation verte : Un bien pour tous », par Nikos Georgantzis, professeur d’économie expérimentale et directeur du Wine & Spirits Business Lab de la School of Wine & Spirits Business.

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80% de femmes dans la nouvelle promotion de (Re)Connect

Le programme d’inclusion de réfugiés de BSB accueille 20 participants dont une dizaine d’Ukrainiennes de janvier à avril 2023

Depuis ce 5 janvier, BSB accueille une nouvelle promotion de (Re)Connect, son programme dédié à l’inclusion de réfugiés. Pour cette seconde édition sous cette forme, ce sont ainsi 20 participants – deux fois plus que l’an dernier – qui pendant 3 mois, à raison d’une vingtaine d’heures par semaine, seront immergés dans le monde de l’entreprise en bénéficiant du réseau de l’Ecole.

Particularité cette année : 80% sont des femmes, dont la moitié sont des Ukrainiennes – ce qui fait naturellement écho à l’actualité mais aussi à des tendances plus structurelles. Au-delà de l’initiative solidaire de réinsertion, de lutte contre la discrimination et de promotion de la diversité, (Re)Connect répond aux besoins du territoire et est en totale adéquation avec les valeurs d’accompagnement et d’excellence de BSB.

Promotion féminine et marquée par la crise ukrainienne

Alors que jusqu’à présent le programme accueillait essentiellement des hommes, ce sont cette année 16 femmes sur 20 participants qui composent la nouvelle promotion de BSB (Re)Connect. « Cela répond à une certaine forme de logique puisque plus de 50% des exilés dans le monde sont des femmes » explique Céline Soulas, professeure à BSB et responsable du programme.

« Surtout, cela souligne l’enjeu essentiel de l’intégration, de l’éducation et de l’employabilité des femmes en exil, et leur rôle prééminent dans le quotidien des structures familiales, avec en toile de fond la problématique d’une charge mentale accrue pour ces femmes réfugiées. »

Celles-ci viennent du Soudan ou encore de Syrie, mais cette année elles sont la moitié en provenance d’Ukraine, conséquence du conflit ayant éclaté en février 2022. « La plupart ont dû quitter leur pays avec leurs enfants, en laissant leur compagnon sur place » précise Céline Soulas. « Il est donc fondamental de contribuer à leur réinsertion professionnelle mais aussi sociale, en s’appuyant notamment sur des réseaux de femmes. »

Porte ouverte sur le monde du travail et la vie sociale grâce au réseau

« Dans leur pays, elles étaient photographe, coiffeuse, coiffeuse/visagiste dans l’évènementiel, ingénieure dans le BTP, infirmière, économiste en banque, manageuse dans l’hôtellerie-restauration, agente immobilière, , mais aussi gestionnaire dans une boutique de denrées alimentaires, technicienne dans les télécoms, chargée de services clientèle ou encore professeure d’anglais… : nous allons les aider à travailler leur employabilité en offrant cette clé qu’est le réseau » poursuit Céline Soulas.

Le programme de 24 heures de cours hebdomadaires pendant 12 semaines (français et culture d’entreprise principalement) s’appuie ainsi sur une forte implication bénévole des élèves, du personnel, des professeurs, des intervenants ou encore des diplômés de l’École.

Innovation pour cette nouvelle édition : la troupe d’improvisation Lisa 21, qui est intervenue lors de la journée d’intégration du jeudi 5 janvier, proposera aux participants de (Re)Connect de monter une pièce de théâtre, dont une représentation aura lieu en avril lors de la diplomation du programme.

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