octobre 2022 - Burgundy School Of Business

Vers les #RDD2022 co-organisées par BSB pour la troisième édition

Échanges entre les Directeurs généraux de BSB et de l’Institut Open Diplomacy, à l’occasion des Rencontres du Développement Durable 2022

BSB est partenaire depuis leur lancement en 2020 des Rencontres du Développement Durable (RDD). Organisé par l’Institut Open Diplomacy avec un collectif d’institutions d’enseignement supérieur, cet événement a pour but d’aider les Français à se faire une opinion informée sur les enjeux du développement durable grâce à des débats riches et accessibles à tous. Il est dorénavant devenu un rendez-vous démocratique incontournable consacré à la transition écologique.

En cette année anniversaire des Objectifs de Développement Durable en France, l’édition 2022 des RDD, placée sous le haut patronage de la présidente de l’Assemblée nationale Mme Yaël Braun-Pivet, s’intitule « Entreprenons la France de 2030 ! ». Les RDD donnent la parole à plus de 280 orateurs à travers 8 étapes du 16 septembre au 9 décembre 2022. Le campus de BSB à Dijon accueille le 25 novembre les débats sur le thème « Territorialiser la transition ». Dans la perspective, nous avons interrogé Thomas Friang, Fondateur et Directeur général de l’Institut Open Diplomacy, et Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB.

Thomas Friang, cela fait trois ans que vous avez fondé les RDD. Pourquoi et quelle est la vocation de cet événement ?

Thomas Friang : Depuis la création des RDD, nous poursuivons un objectif très simple : proposer au plus grand nombre de Français, grâce à nos partenaires à travers le territoire comme BSB à Dijon, un rendez-vous démocratique, gratuit et accessible à tous, afin de s’emparer des enjeux de la transition.

Cette initiative doit permettre à tout un chacun de se forger une opinion éclairée en rentrant dans la complexité du développement durable, avec ses dimensions économiques, sociales, environnementales et – évidemment – géopolitiques.

Pour cela nous mobilisons deux ressources importantes : la contribution experte de nos partenaires et en particulier des établissements co-organisateurs, dont la recherche et les expertises irriguent la structuration des débats ; et les ODD (Objectifs de Développement Durable adoptés par tous les Etats de l’ONU en 2015) comme une référence à la fois concrète et systémique. La mobilisation de plus de 70 partenaires autour de l’événement, de la majorité comme de l’opposition, des pouvoirs publics nationaux et locaux, est décisive pour ce rendez-vous annuel du débat public.

Stephan Bourcieu, BSB co-organise les RDD avec l’Institut Open Diplomacy. Pourquoi avoir pris cet engagement ? Qu’est-ce qu’il signifie aux yeux de votre école ?

Stéphan Bourcieu : C’est une fierté pour BSB de co-organiser les RDD depuis leur création par l’Institut Open Diplomacy. Mais c’est aussi tout naturel tant notre engagement en matière de responsabilité sociale est profondément ancré. La mission de notre École est notamment de former des managers qui prendront en compte les impacts sociétaux et environnementaux dans leurs pratiques professionnelles, qui contribueront à l’impérieuse nécessité de changer le monde.

Ainsi, au-delà de ce que nous mettons en place au sein même de l’École et en interaction avec nos écosystèmes, il nous semble pertinent de nous associer à des initiatives comme les RDD. C’est notre rôle en tant qu’établissement d’enseignement supérieur et de recherche que de contribuer aux échanges, aux débats, de montrer l’exemple, de se mobiliser avec toute notre énergie pour ces enjeux, car aujourd’hui il y a urgence. Notre corps enseignant est pleinement engagé dans cette dynamique et nos étudiants en profitent pleinement.

Thomas Friang, cette troisième édition des RDD est devenue l’anniversaire officiel de l’adoption des ODD par la France. Comment cela est-il arrivé ?

Thomas Friang : C’est la suite logique d’un travail étroit mené dès l’origine des RDD avec le Ministère de la Transition Ecologique et de la Cohésion Territoriale. Il se trouve que ce Ministère a historiquement la charge d’organiser pour le gouvernement français l’anniversaire de l’adoption des ODD. Après deux ans de coopération, il était très clair que nous poursuivions les mêmes objectifs : valoriser les initiatives, les recherches et les innovations qui servent la transition.

Il s’est donc imposé comme une évidence que nous avions intérêt à mutualiser nos efforts en s’appuyant sur les RDD, et ses 70 partenaires de référence, pour célébrer l’anniversaire des ODD. Cette série de conférences gratuites est un rendez-vous démocratique de haut niveau :  l’édition 2021 a accueilli plus de 40 ministres français ou étrangers au cours de ses 80 sessions ! L’édition 2022 est toute aussi riche grâce à nos partenaires de choix comme BSB qui – à travers ce partenariat mis en place avec le Ministère – ont fait la démonstration autour de l’Institut Open Diplomacy que le pouvoir exécutif peut s’appuyer en toute confiance sur la société civile.

Stéphan Bourcieu, votre établissement est engagé au service du développement durable. Alors qu’une partie de l’anniversaire français des ODD va se dérouler sur votre campus, pouvez-vous nous rappeler vos principaux engagements ?

Stéphan Bourcieu : Notre engagement en la matière est ancien. BSB a signé en 2015 les six principes de l’initiative internationale PRME (Principles for Responsible Management Education). Cette signature venait concrétiser plus de 10 ans d’engagement en faveur de la responsabilité sociétale, matérialisée notamment par un module unique créé en 2005, la « Pédagogie par l’Action Citoyenne » (PAC) (renommé « Impact » depuis, sorte de service civique avant l’heure), ainsi que par la création d’une série de chaires de recherche dédiées à des problématiques RSE, Microfinance et Business models dans l’industrie agroalimentaire par exemple.

En parallèle, nos cursus de formation ont progressivement intégré des modules répondant à l’objectif de former des managers qui se comportent en citoyens responsables dans leur entreprise comme dans la société, en prenant également en compte les exigences de développement durable.

Depuis 2015, nous avons poursuivi notre engagement, renforcé la place de la responsabilité sociétale dans nos formations, réaffirmé son importance au sein de nos activités de recherche, questionné les impacts sociaux et environnementaux de nos pratiques en tant qu’organisation. Nous avons signé l’Accord des Objectifs de Développement Durable (ODD) à l’automne 2020.

Aujourd’hui notre engagement de responsabilité sociétale BSB fait partie intégrante de l’École ; il est volontairement transversal et systémique pour justement couvrir l’ensemble des activités de BSB : la gouvernance, l’enseignement, la recherche, les pratiques sociales et la gestion environnementale des campus.

Sur ce dernier point, nous avons ainsi mis en place une série d’actions qui permettent de réduire au quotidien l’impact de nos activités sur l’environnement : la gestion des infrastructures avec des standards environnementaux de haute qualité, le suivi de nos consommations d’énergie pour les diminuer le plus possible, une politique d’achats responsables, une politique de transports ou encore une politique en matière de réduction des déchets.

Une autre dimension de notre engagement consiste en l’évaluation de la pertinence des actions menées : ainsi nous réalisons chaque année depuis 2018 une autoévaluation de notre démarche de responsabilité sociétale. Le bilan des actions est réalisé en se basant sur le référentiel DD&RS (Développement Durable & Responsabilité Sociétale) élaboré par la Conférence des Grandes Écoles (CGE) et la Conférence des présidents d’universités (CPU), et reconnu par l’État. Ce référentiel DD&RS est précieux pour piloter et mettre en œuvre notre démarche RSE en se fixant des objectifs d’amélioration.

Alors que nous marquons le 7e anniversaire des ODD, tous les indicateurs sont au rouge. La pandémie et la guerre en Ukraine ont provoqué de sérieuses difficultés pour atteindre les ODD. Y a-t-il une réelle raison de « fêter » cet anniversaire Thomas Friang ?

Thomas Friang : Effectivement la situation est très grave, sous les effets combinés de la guerre en Ukraine, des dérèglements climatiques et de la pandémie qui continue : ce que j’appelle la « polycrise ». Mais en réalité le problème est plus ancien que ça : dès 2019, c’est-à-dire avant cette polycrise, des rapports internationaux alertaient sur le fait qu’il faudrait attendre au moins 2073 pour atteindre les ODD !

La particularité de cette polycrise – qui est totale – est qu’elle inverse la courbe du progrès. Prenons deux exemples.

Les inégalités mondiales entre les Nations augmentent au lieu de se réduire pour la première fois depuis une génération. Ceci est un très mauvais signe car cela signifie que nous perdons une partie de la population mondiale dans la dynamique du progrès, sans parler des effets délétères de la pauvreté, y compris dans les nations avancées.

Autre exemple : celui de la biodiversité, dont l’effondrement est comme la crise jumelle du dérèglement climatique. À cause de l’épisode « Covid/Ukraine », la COP 15 de la convention des Nations Unies sur la diversité biologique, qui était présidée par la Chine, a été reportée à deux reprises. Le Canada ayant dû prendre le relai et devant faire aboutir les négociations en décembre pour renouveler le cadre d’Aichi, dont aucun des 20 objectifs n’a été atteint.

Je pense donc qu’il faut voir cet anniversaire comme un rendez-vous qui nous met face à la réalité observable avec le tableau de bord que représentent les ODD. L’urgence nous oblige à se confronter à l’ensemble des paramètres du développement durable, représentés par les 169 cibles qui composent « l’Agenda 2030 ».

Il s’agit moins de « célébrer » que de se rassembler autour d’un diagnostic clair afin de pouvoir passer à l’action collectivement. Tous les acteurs et partenaires qui nous accompagnent sont déterminés et forces de proposition : ce qu’il y a de festif dans ce moment, c’est le partage des initiatives, la mise en lumière de ce qui est déployé pour changer la donne et la réflexion sur le passage à l’échelle le plus efficace possible. Nous avons besoin de cette composante d’espoir pour avancer et éviter le cynisme, qui est très dangereux pour la démocratie.

Stéphan Bourcieu, quel vœu formulez-vous pour que nous puissions « entreprendre la France de 2030 », qui est le thème de cette troisième édition des RDD ?

Stéphan Bourcieu : Thomas vient de parler de « se rassembler autour d’un diagnostic clair » : il a entièrement raison, et je suis effaré aujourd’hui quand je constate les divergences des analyses et solutions proposées par les uns ou les autres, avec souvent une certaine relativité de la notion d’urgence. S’il faut formuler un vœu, ce serait donc de parvenir au plus vite à un consensus national concernant la réalité de la situation. À partir de là, être capable de définir une marche à suivre qui fédère une majorité de citoyens en vue de la décarbonation de l’économie française.

Au-delà de ça, le problème n’est pas que français, mais mondial. La France est un micro-acteur influent qui doit savoir entraîner dans un cercle vertueux des pays plus imposants démographiquement, économiquement et politiquement. En d’autres termes, la transition ne se fera pas sans les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde. Il faudra fédérer tout le monde et nous avons un devoir d’exemplarité.

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Partenariats à impact pour les Masters of Science

Jobs That Make Sense, Natixis et IBM parrainent quatre programmes de dernière année

En dernière année du Master Grande Ecole (MGE), les étudiants de BSB peuvent choisir d’obtenir un double diplôme en rejoignant l’un des huit Masters of Science (MSc) proposés par l’Ecole. Une opportunité pour eux de se spécialiser sur un secteur et des métiers spécifiques, et un sésame vis-à-vis des recruteurs.

Pour asseoir la notoriété des programmes, mais surtout pour exposer concrètement les étudiants aux réalités des métiers, aux expertises qu’on y déploie, et plus largement à des réseaux pertinents pour leurs futures activités professionnelles, quatre MSc BSB nouent des partenariats avec les entreprises Jobs That Make Sense, Natixis et IBM. Ces sociétés marraines interviendront auprès des élèves au moins une fois dans l’année.

Vers un monde meilleur avec Jobs That Make Sense

Le MSc Green Tech & Sustainable Societies vise à spécialiser des managers qui sauront évaluer et concevoir des pratiques, des technologies et des systèmes apportant des solutions durables aux communautés et aux organisations. En cela un partenariat avec la première plateforme d’emploi à impact positif Jobs That Make Sense fait particulièrement… sens.

« Depuis 8 ans, nous aidons les citoyens à donner du sens à leur carrière, avec la conviction que choisir un emploi à impact positif est sans doute le moyen le plus puissant d’agir pour la transition écologique et sociale », explique Nicolas Vergne, Responsable du développement de Jobs That Make Sense. « Nous pensons même qu’à terme seules les entreprises qui s’engagent sincèrement pourront recruter. C’est le sens de la grande réorientation du marché de l’emploi que nous faisons émerger avec l’ensemble des acteurs de l’écosystème : organisations à impact, citoyens engagés, et organismes de formation. »

« Référencer le MSc Green Tech & Sustainable Societies de BSB est particulièrement pertinent pour nous car ce programme contribue à la montée en compétence des étudiants sur les enjeux des métiers verts et verdissants, indispensables à cette réorientation. Plus largement, en montrant aux étudiants la diversité des emplois existants sur la plateforme, il y a également l’enjeu de faire sauter quelques potentiels préjugés, en particulier sur l’insertion dans les métiers de la transition écologique. »

Parrains prestigieux et diplômés engagés

C’est Hervé Housse, Membre du comité exécutif de Natixis et alumni BSB’87, qui est le parrain cette année des MSc CFIB (Corporate Finance & Investment Banking) et MSc 3CF (Climate Change & Corporate Finance). « A titre personnel, c’est un immense plaisir et une grande fierté de parrainer ces promotions », indique Hervé Housse. « Au-delà des attaches qui seront créées avec mon entreprise, j’aurai à cœur de transmettre aux étudiants quelques messages clés autour de la pensée critique, de la passion, de l’intelligence collective et de l’éthique. »

Enfin Stéphanie Bernard, Directrice Technology Lifecycle Services chez IBM et alumni BSB’92, est la marraine du MSc IADTM (Intelligence Artifical & Digital Technology Management), dispensé sur le Campus BSB Lyon. « Échanger sur la vie professionnelle et la diversité des métiers d’aujourd’hui et de demain, rendre l’entreprise accessible à toutes et tous, tout en préservant ses centres d’intérêts personnels sont mes motivations pour accompagner cette jeune promotion », détaille-t-elle. « Mon défi ? Transmettre aux étudiants ma passion pour les technologies au service d’un monde moderne, engagé et meilleur. »

Stéphanie Bernard et Hervé Housse interviendront tous deux auprès des promotions parrainées cette année, pour évoquer notamment leurs parcours et expériences.

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Didier Jacquet, nouveau Directeur du MSc Wine Management

Promotion historique pour le programme avec plus de 80 étudiants

Alors que la School of Wine & Spirits Business (SWSB) de BSB reçoit ses nouveaux étudiants entre septembre et octobre (près de 150 élèves dont une majorité d’internationaux et de femmes parmi tous les programmes de l’institution), le MSc Wine Management (81 étudiants, 11 nationalités) accueille en cette rentrée un nouveau Directeur, Didier Jacquet.

Il succède à Pierre Joulié (retraite). Fort d’expériences dans le secteur agroalimentaire, Didier Jacquet est aussi passé par la Maison Louis Latour (Beaune) et était Directeur financier de Badet Clément à Nuits-Saint-Georges ces 5 dernières années. Il intervient également à la School of Wine depuis près de 10 ans en assurant un module de contrôle de gestion spécifique au monde du vin.

Vision professionnelle et pragmatique pour promotion record

« C’est avec joie que je rejoins la direction du MSc Wine Management », indique Didier Jacquet. « Dans la lignée de la philosophie défendue par la School of Wine, et en prolongement de l’assise académique, je compte encourager une vision professionnelle et pragmatique, et faire en sorte que nos étudiants enrichissent toujours plus leurs réseaux. A ce titre, la forte proportion de diplômés de la School of Wine parmi nos intervenants professionnels est particulièrement satisfaisante. »

Le MSc Wine Management connait en cette rentrée la promotion la plus importante de son histoire : 81 participants issus de 11 nationalités différentes, dont une petite moitié de Français et une présence accrue de ressortissants indiens (6).

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Rentrée record pour le MBA Wine & Spirits Business

Densité et diversité pour la nouvelle promotion du programme en vin le plus cosmopolite au monde

La School of Wine & Spirits Business (SWSB) de BSB reçoit ses nouveaux étudiants entre septembre et octobre : près de 150 élèves – dont une majorité d’internationaux et de femmes – rejoignent les différents programmes de l’institution. Parmi eux, le MBA Wine & Spirits Business enregistre sa promotion record.

Ainsi, avec 27 participants, la nouvelle promotion du MBA Wine & Spirits Business est la plus importante depuis la création du programme en 2018. Les étudiants sont issus de 15 nationalités (un record là encore), dont 5 ressortissants indiens, 4 étasuniens et 6 de Chine/Taïwan. Le Canada, le Brésil, l’Islande, le Mexique, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Russie, la Turquie, le Vietnam et la France sont aussi représentés.

Cosmopolitisme et richesse du programme

« Nous comptons 14 femmes et 13 hommes, âgés de 25 à 53 ans, pour ce qui fait de notre programme le plus cosmopolite du monde dans le secteur du management des vins et spiritueux », explique Jacques Thébault, Directeur du MBA. « Cette année plus encore que les précédentes, nous réunissons des profils au pedigree professionnel déjà très riche : 4 participants sont entrepreneurs et ont déjà créé leur entreprise, tandis que 7 ne viennent pas du secteur et sont donc en reconversion. »

Parmi les moments forts de l’année : la troisième édition du Greek Wineries Project (programme de consulting international pour accompagner les vignobles grecs dans leur stratégie marketing à l’export), un Champagne Wine & Law Seminar en partenariat avec l’Institut Georges Chappaz de la Vigne et du Vin en Champagne, un voyage d’étude à New York ou encore les vendanges chez le vigneron Armand Heitz pour lancer l’année (photo).

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Ahmed Dammak nouveau Directeur du MGE

Ahmed Dammak est nommé Directeur du Master Grande Ecole (MGE) de BSB.

Docteur en Sciences de gestion diplômé de l’Université de Rouen, spécialisé en stratégie d’entreprise, et titulaire d’un DEA de politique générale des organisations obtenu à Paris Dauphine, Ahmed Dammak est professeur de management. Il effectue également des recherches sur les thèmes de l’intuition managériale, la prise de décision et les particularités du management dans le secteur médico-social et dans le secteur du tourisme.

Ahmed Dammak a occupé des fonctions managériales de responsable de département et de responsable de masters et spécialisations à l’ESC Troyes de 2008 à 2014, puis à EBS (European Business School) Paris de 2014 à 2021. En 2021, il a rejoint EMLV (Ecole de Management Léonard de Vinci) pour prendre la direction des programmes Bachelors.

Il a pris ses fonctions lundi 3 octobre à BSB. « Je suis ravi et fier de rejoindre BSB et de prendre la direction du MGE, le vaisseau amiral des programmes de l’Ecole », indique Ahmed Dammak. « J’aurai notamment à cœur de poursuivre la réforme du programme au bénéfice de l’expérience étudiante et du développement du potentiel des étudiants, en cohérence avec le plan stratégique 2022-2027 de BSB. »

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