février 2022 - Burgundy School Of Business

200.000€ mobilisés pour des prêts d’honneur

4 banques partenaires signent une Charte d’engagement

Historiquement engagée pour l’ouverture sociale, a fortiori dans le contexte difficile des deux dernières années, BSB a créé en 2021 les Fonds BSB : 1M € dédiés à l’accompagnement des élèves et l’innovation pédagogique.

Parmi les actions articulées par ces Fonds BSB, les BSB Prêts d’honneur sont un dispositif qui a pour mission de soutenir des élèves en difficulté financière en finançant une partie de leurs études sous la forme de prêts d’honneur sans caution, à conditions préférentielles.

Solidarité des acteurs bancaires du territoire

4 banques du territoires, partenaires de l’Ecole, soutiennent cette initiative qui va permettre de financer jusqu’à 200.000€ sur l’année 2021/2022, au bénéfice d’une quinzaine d’étudiants : la Caisse d’Epargne Bourgogne Franche-Comté, la Banque Populaire Bourgogne Franche-Comté, le Crédit Agricole Champagne Bourgogne et le Crédit Agricole Franche-Comté.

Chaque banque s’engage pour une durée de 3 ans à octroyer des prêts sans aucune garantie à des étudiants sourcés et proposés par la Fondation BSB.

« Notre dispositif est particulièrement innovant et incarne l’engagement fort qu’a BSB et sa Fondation en termes de RSE », précise Nathalie Huet, Directrice Entreprises & Carrières de l’Ecole. « Cette opération s’inscrit dans une logique volontaire, collective et territoriale : notre précieux pool de partenaires bancaires partage nos valeurs et notre vision d’un enseignement supérieur solidaire et favorisant l’ouverture sociale. C’est grâce à leur engagement notamment que ce dispositif peut voir le jour et que des étudiants méritants peuvent continuer leurs études. »

La signature de la Charte d’engagement solidaire, en présence de représentants des 4 banques partenaires et de Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB, a lieu mardi 1er mars.

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NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

BSB labellisée Best School Experience 2022 par Speak & Act

Un gage de forte satisfaction des étudiants concernant leur expérience Ecole

Pour la première fois, BSB obtient cette année le label « Best School Experience – Happiness Barometer », délivré par Speak & Act. Cette plateforme de marque employeur et école labellise les établissements offrant la meilleure expérience étudiante afin d’informer, accompagner et orienter les étudiants vers la bonne école. Le label Best School Experience est exclusivement fondé sur les avis des étudiants recueillis par l’intermédiaire d’un questionnaire anonyme garantissant le caractère impartial et indépendant.

Les résultats de cette enquête mettent en avant une forte satisfaction des étudiants de l’École concernant leur experience BSB, en particulier sur trois dimensions :

  • la qualité de la vie associative comme une force de l’établissement (satisfaction de 80%)
  • la qualité de l’offre en termes de stages et/ou d’alternance, avec de nombreuses opportunités (satisfaction de 79%)
  • la fierté des étudiants vis-à-vis de leur École (78%).

Découvrir sur speaknact.fr les avis sur BSB : https://bit.ly/3JQvKBV

En savoir plus sur la méthodologie du classement et label Speak & Act : https://bit.ly/33LRL5A  

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BSB accélère sa transition socio-écologique au sein de ses enseignements

Les élèves de Bachelor investis dans les Fresques du Climat et du Numérique

L’engagement dans la transition socio-écologique est toujours plus concret à BSB, notamment à travers les enseignements. Ainsi début février, les élèves de 1ère année du Bachelor ont été sensibilisés aux causes et conséquences du dérèglement climatique avec la Fresque du Climat. De leur côté, ceux de 2e année ont pu prendre la mesure des impacts socio-environnementaux du numérique grâce à la Fresque du Numérique.

« Ces deux ateliers ludiques ont reçu un accueil très favorable de la part des étudiants » indique Anne-Laure Brochet, Chargée de mission Accréditions, Classements et RSE. « Ils leur permettent de prendre conscience de l’impact de nos modes de vie sur le climat et la biodiversité, mais également sur l’homme lui-même. Ils sont ainsi mieux armés pour leur prise de décision dans un cadre professionnel et personnel. La majorité d’entre eux mettent des actions en place après ces ateliers, car ils ont envie d’un monde plus responsable, plus durable, ce qui est très positif ! »

Prise de conscience et consolidation des connaissances

« Les Fresques du Climat et du Numérique s’inscrivent pleinement dans le cursus de nos étudiants Bachelor à BSB, et sont totalement complémentaires des enseignements dits traditionnels », se félicite de son côté Delphine Bertin, Directrice du programme Bachelor. « Ces ateliers permettent de susciter des questionnements, de déclencher ou réaffirmer une prise de conscience des enjeux et défis environnementaux et sociétaux. Les étudiants qui intègrent notre programme sont généralement sensibles à ces thématiques, mais le dispositif des Fresques leur permet d’aborder ces questions de façon structurée et constructive. »

En 3e année de ce même programme Bachelor, les élèves ont suivi au cours du 1er semestre un module spécifique sur la transition écologique. L’occasion pour eux de consolider leurs connaissances dans les principales disciplines concernées par cette transition (sciences humaines, économie, écologie) et d’acquérir des savoir-faire et compétences, essentiels dans l’exercice de leur futur métier (intelligence collective, gestion de l’incertitude, etc.).

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Force de l’âge : la grande mémoire du doyen des diplômés BSB

René Force se souvient de l’École et de la Promotion 1940

Il a eu 100 ans en novembre dernier et se souvient encore très bien de l’École dont il fut diplômé il y a donc… 82 ans ! René Force est certainement le doyen des plus de 17.000 alumni que compte aujourd’hui BSB, et conserve une mémoire impressionnante de son passage rue Sambin. Stéphan Bourcieu, Directeur général de BSB, et Jacques Hélie, Responsable du réseau alumni de l’Ecole, ont eu récemment l’immense plaisir d’aller partager avec lui un moment émouvant et un peu hors du temps.

« Nous lui avons offert la photo de la promotion 1940, la sienne, et quelle ne fut pas notre surprise de voir les souvenirs instantanément remonter, et surtout de constater que René Force se rappelait de quasiment tous ses camarades de classe ! », témoigne Stéphan Bourcieu, admiratif. Avec un prisme bien particulier : leur origine géographique.

Aux noms des camarades

Il y a ainsi Jean Deschamps « dont le père était maire à côté d’Is-sur-Tille », Paul Madon « dont les parents tenaient le bureau de tabac de la place Darcy », Jacques Gauthier venu de Sens, Louis Troubat, « fils de minotiers de Dijon qui lui vivait à Flavigny », Pierre Mathey dont il se remémore précisément l’adresse, « rue du 23 janvier » ! Et puis notamment l’une des 6 femmes de cette promotion d’une trentaine de jeune gens, Marcelle Bonhomme, d’Arnay-le-Duc.

Mais il y a aussi les fils de vignerons, Bernard Richard et Henri Girardin, ce dernier étant « le major de la promo ! ». Et puis Jacques Logerot, devenu par la suite directeur de la société familiale Pagot Savoie, distributeur en matériaux de construction et d’équipement de la maison. Avec cette incroyable coïncidence : ce camarade de classe n’est autre que le grand-père de celui venu rencontrer René Force ce jour-là, Jacques Hélie.

« Je vais vous faire une confidence », poursuit René Force : « L’École de commerce n’était pas prisée par des gens comme moi, qui avions des diplômes universitaires mais qui n’étions pas commerçants. C’était surtout une école de commerce, avec des fils de commerçants ou d’industriels. Des gens comme moi il n’y en avait pas beaucoup ; mes parents étaient à la PLM (la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée, l’une des plus importantes compagnies ferroviaires privées françaises, nationalisée en 1938 lors de la création de la SNCF). »

Le chemin de fer est d’ailleurs une histoire de famille puisque René Force entrera justement à la SNCF en 1942, où il contribuera notamment à la réalisation de la première ligne TGV, construite à partir de 1974 entre Paris et Lyon. Dans les années 1980, il sera conseiller municipal à Dijon dans l’équipe de Robert Poujade.

Temps de guerre

Et l’École alors, qu’y faisait-on à l’époque ? « Il y avait toutes les matières, mais surtout du droit, 7 ou 8 heures par semaine, du droit commercial principalement », se rappelle René Force, qui reconnait également le professeur sur la photo « qui enseignait les mathématiques financières ». « En langues, c’était de l’allemand », précise celui qui encore aujourd’hui lit en gothique.

Évidemment l’année de promotion de René Force est bien particulière, alors qu’il vient de passer trois années à l’ESC Dijon et que l’École ne connaitra pas de nouvelle promotion pendant quatre ans : « A l’arrivée des Allemands en 1940, ils ont fermé l’École et nous ont demandé si on voulait aller dans l’armée allemande. Moi je n’ai pas donné suite mais trois y sont allés, des alsaciens. L’un d’eux a d’ailleurs perdu sa vie un peu plus tard dans un sous-marin de poche allemand… » se remémore René Force.

« Après la Guerre, j’ai revu la plupart des camarades de classe, on allait à des réunions de l’Ecole deux fois par an, rue Sambin ; d’ailleurs l’École est toujours là-bas. » Et Stéphan Bourcieu de conclure : « Nous avons la confirmation qu’à l’époque déjà, le réseau des diplômés était une réalité ! BSB est définitivement une grande et vénérable famille ! »

Photo de la promotion 1940 : René Force est au 2e rang, le troisième en partant de la droite ; Jacques Logerot est au 3e rang, le troisième en partant de la gauche.

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Un étudiant booste la micromobilité douce avec ses box individualisés

Clément Riondé développe Teepark à l’incubateur BSB

A l’origine du projet Teepark, il y a une sensibilisation à l’entrepreneuriat qui fait tilt dans la tête de Clément Riondé, alors qu’il est en IUT Techniques de commercialisation. « A partir de là, j’ai pris l’habitude de noter toutes les idées de projets qui pouvaient me passer par l’esprit », précise Clément. « Puis l’intuition de Teepark est venue progressivement, une fois que j’ai intégré BSB. »

L’école, il y arrive en 2017, après son IUT et un séjour de 6 mois d’immersion à Londres. « Ce fut un gros coup de cœur pour le campus et la ville de Dijon », se rappelle Clément. « Nous étions quatre amis de cet IUT à passer les concours et l’effet waouh a été le même pour tous : nous nous sommes ainsi retrouvés à BSB à la rentrée suivante. »

Il oriente alors son cursus en fonction de ses appétences entrepreneuriales, avec notamment des stages dans des petites structures, des startups spécialisées l’une en blockchains et cryptomonnaies, l’autre en autofinancement. Il suit également la spécialisation Entrepreneuriat et Management des PME au sein du Master Grande Ecole, et rejoint donc l’incubateur pour développer Teepark.

« Dans ma vie personnelle, j’ai toujours favorisé le vélo pour mes mobilités, et je tente de sensibiliser mes entourages à cette pratique », explique Clément. « Aujourd’hui le vol est la première cause d’abandon du vélo : on compte 400.000 vols par an en France ! Ajoutez à cette problématique de stationnement celle des réparations, et vous avez le cœur de ce qui a animé mes réflexions : comment favoriser les micromobilités douces à partir de ces constats ? »

Des box qui tapent dans le mille

« Comme actuellement les vélos électriques représentent 40% des ventes en France et que leur part de marché ne cesse d’augmenter, une idée a vu le jour : celle de box individualisés dans lesquels on a la possibilité de recharger son véhicule et de laisser ses affaires en toute sécurité. »

Clément songe ainsi à réutiliser des containers maritimes afin de les moduler, tels des lego, en fonction des besoins du client, et donc d’y aménager ces box individuels. Equipé de panneaux solaires (ou d’autres dispositifs durables), l’ensemble est autosuffisant d’un point de vue énergétique. Une application permet la réservation du box et toute une série de services annexes est proposée – comme la possibilité de retrouver son vélo réparé lorsqu’on vient le récupérer.

« Aujourd’hui, j’ai été rejoint par mon ami Quentin Cecutti, qui faisait partie de la bande de l’IUT ayant intégré BSB en même temps que moi. Il m’est d’une aide précieuse dans le développement du projet, et notamment sur les dimensions financières. Nous sommes en train de finaliser le premier prototype et allons procéder aux premières expériences terrain, dont une installation pour la rentrée prochaine sur le campus BSB Lyon. Une fois notre produit validé par la pratique, nous pourrons nous adresser aux entreprises pour leur proposer notre solution », ajoute Clément.

« Et puis je tiens à souligner l’importance du soutien de l’école dans notre projet, que ce soit grâce la Fondation BSB ou à l’incubateur, par l’intermédiaire de Claire Maugras sa responsable. Sans cet accompagnement, nous n’en serions pas là », conclut Clément. Nul doute qu’avec cette belle idée et cette qualité d’environnement, cette affaire va rouler !

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