juillet 2021 - Burgundy School Of Business

Concours Prépa : BSB bat son plein !

14e au SIGEM, une place gagnée, attractivité et dynamique de l’Ecole toujours plus fortes

Le Concours BCE vient de livrer son verdict et les étudiants de classes préparatoires savent dorénavant quelle école ils rejoindront à la rentrée. A BSB, ils seront 255 à être accueillis, ce qui correspond au nombre de places qui étaient offertes – l’école faisant ainsi le plein.

BSB continue de renforcer son attractivité puisqu’elle gagne une place et est désormais 14e au SIGEM – ce classement qui donne une photographie du choix des préparationnaires, et donc de l’attractivité des écoles auprès de ce public. Depuis 2012, BSB a progressé de 6 places dans ce palmarès ! Cette 14e place est le meilleur classement de l’histoire de BSB.

Cet excellent résultat est le fruit d’une dynamique très positive de l’Ecole, symbolisée cette année par le déploiement de l’Ecole à Lyon et l’ouverture d’un nouveau campus prêt à accueillir un millier d’étudiants. Cela conforte également la pertinence du modèle alternatif de BSB, dont le positionnement historique est centré sur l’accompagnement des étudiants.

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Une étudiante de BSB présidente de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises

Emilie Paris prend la tête d’une des plus importantes associations étudiantes de France

Emilie Paris, étudiante en Master Grande Ecole à BSB, vient d’être élue Présidente de la Confédération Nationale des Junior-Entreprises (CNJE). Elle a pris ses fonctions au 1er juillet. C’est un poste prestigieux et à grande responsabilité puisqu’il s’agit d’une des associations étudiantes les plus importantes de France, générant plus de 9M€ de chiffre d’affaires, comptant plus de 200 structures – ingénieures, commerciales, universitaires et spécialisées – et représentant 25.000 étudiants à travers le pays. Emilie aura pour mission de piloter la stratégie 2024 du mouvement, qui entend apporter sa contribution aux transformations de la société, et cela dans un contexte de retour au présentiel.

La fierté d’une Présidente

Âgée de 22 ans, Emilie Paris prend la tête de la CNJE après une classe préparatoire littéraire qui l’a menée à BSB. A l’Ecole, elle a suivi un parcours entrepreneuriat et intégré BJC (BSB Junior Consulting), la Junior-Entreprise de BSB, en tant que responsable du développement commercial puis comme Présidente.

« C’est un véritable honneur de représenter le mouvement des J.E. », confie Emilie. « A titre personnel cela représente une opportunité unique qui vient enrichir mon parcours étudiant. Cela va me permettre de prendre du recul, de renforcer et d’élargir mes réseaux. Je vais pouvoir mettre à profit mon profil touche à tout pour développer mes compétences en gestion de projet. »

« Mais surtout, je vais pouvoir vivre une vraie passion au quotidien. C’est un défi d’envergure de représenter les junior-entrepreneurs. Je suis fière de m’engager dans la mise en œuvre d’actions qui ont un impact concret sur le corps étudiant, pour des structures qui contribuent à la professionnalisation des jeunes. »

Challenges ambitieux et présentiel

Depuis son entrée en poste le 1er juillet, Emilie gère les ressources financières, matérielles et humaines de la CNJE – une équipe d’une trentaine de bénévoles et deux salariés. « C’est beaucoup de responsabilité mais d’autant plus de motivation ! », s’enthousiasme Emilie. « La mission première de mon mandat, c’est le pilotage de la stratégie 2024 du mouvement. Il s’agit d’enrichir la vision de la CNJE avec en permanence à l’esprit la contribution que nous pouvons avoir aux transformations de la société. Nous sommes très attentifs à l’impact et aux interactions des J.E. avec leurs écosystèmes, à l’échelle locale et nationale. »

Autre challenge et non des moindres : le retour au présentiel. « Après une période Covid où les J.E. se sont très bien adaptées, notre équipe va piloter ce retour en présentiel, dimension importante pour favoriser notre union, et organiser les événements phares du mouvement en prenant en compte les bonnes pratiques telles que l’hybridation avec du distanciel. Nos congrès regroupent 2.500 étudiants dont près de la moitié viennent sur place. »

BJC à l’honneur

Emilie n’est pas la seule à représenter BSB dans le nouveau bureau de la CNJE, puisque deux autres membres de BJC y figurent : Matthieu Bianchin prend le poste de trésorier et Léa Paysant celui de chargée de mission événementiel. Et cela alors qu’un ancien étudiant de BSB, Bastien Nussbaumer, avait déjà pris la présidence de la CNJE en 2018.

Une illustration de plus du fort dynamisme actuel de la J.E. de l’Ecole. BJC figure en effet sur la liste des 30 meilleures J.E. de France en 2021, et vient de s’illustrer en figurant parmi les trois finalistes du Prix soutenu par ENGIE du Meilleur Partenaire de L’Enseignement Supérieur. BJC ouvre également à la rentrée prochaine une antenne sur le Campus BSB Lyon – ce qui va lui permettre de s’adresser au puissant écosystème économique de la région Rhône-Alpes tout en nourrissant la vie associative du campus lyonnais.

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Méditation de pleine conscience : 3 questions à Catherine Pourquier

Après la sortie d’un nouveau livre, quelle place pour l’intelligence émotionnelle dans la société et l’éducation ?

Catherine Pourquier, Professeure en Conduite du changement à BSB, a publié début 2021 un nouvel ouvrage dédié à la méditation de pleine conscience. Nous en avons profité pour lui poser 3 questions autour de cette pratique qui connait un essor certain dans nos sociétés, et en particulier dans le monde professionnel où les problématiques de bien-être et de gestion des émotions deviennent incontournables.

Votre nouveau livre 60 Pratiques de méditation de pleine conscience est sorti aux éditions Jouvence en début d’année, pouvez-vous le présenter ?

Comme le titre l’indique, l’ouvrage propose une série de pratiques très concrètes de méditation de pleine conscience (MBSR, Mindfulness-based stress reduction en anglais). Il s’adresse plutôt aux débutants, à ceux qui ne pratiquent pas à la base ou n’ont pas de connaissance de la MBSR. L’idée, c’est de permettre à tout le monde de se lancer dans la MBSR, de la rendre accessible, de donner des outils, sachant que c’est quelque chose qui peut faire peur. Le livre s’inscrit dans une collection qui justement se concentre sur les dimensions pratiques, en apportant également des éléments théoriques, sous forme de focus ; et dont l’objectif est de casser les idées préconçues qui voudraient qu’il faille des années de pratique pour que ça fonctionne, ce qui n’est pas vrai.

Le livre, petit format de 115 pages, est construit autour de parties qui me semblent incarner des aspects emblématiques de la MBSR : « Cultiver la pratique de l’instant présent », « Lâcher le mental », « Traverser ses émotions », « Développer la conscience soi », « S’accepter tel que l’on est », « Accueillir ce qui est », « Se relier à l’amour », « Faire un avec la vie ». Il est accompagné d’un support audio qui permet de se plonger encore plus concrètement dans la pratique.

Je propose de prendre une dizaine de minutes par jour pour effectuer des exercices choisis, en donnant quelques astuces pour améliorer sa pratique. Au début de chaque pratique, il y a une citation pour aider le lecteur à rentrer dans celle-ci.

En quoi selon vous la pleine conscience est pertinente, en particulier dans la période que nous vivons depuis plus d’un an ?

On observe effectivement une forte demande pour les pratiques de méditation aujourd’hui, avec la période d’épidémie et les confinements que nous avons connus ces derniers mois. Ce sont les remontées que j’ai. Les gens se sont retrouvés face à eux-mêmes, dans des sphères limitées, avec du temps seul avec soi-même. Certaines personnes habituées à fonctionner le plus souvent vers l’extérieur se sont retrouvées face à un vide, à de l’insécurité, démunis, et ont pu développer des formes d’angoisse.

Il y a une autre catégorie de personnes, celle qui pratiquait déjà la méditation ou avait des activités plus intériorisées comme la lecture : d’une certaine manière, ces personnes ont été avantagées pendant la période, justement par cette capacité de nourrir cette vie intérieure.

La MBSR vise à développer une conscience de soi, de son intériorité, pour améliorer la relation avec l’extérieur. Lorsqu’il y a une crise, un changement radical, tels qu’ont pu l’être les confinements ou les couvre-feux, des personnes se sentent naturellement atteintes dans leur liberté. Or quand on a développé une écoute de ce qui vit à l’intérieur de soi-même, on peut atteindre une précieuse liberté intérieure.

Toutes proportions gardées évidemment, cela m’évoque le cas de Nelson Mandela et les 27 ans de sa vie en prison. Cet homme a été capable de préserver une liberté intérieure, une intériorité, de trouver l’énergie et de garder l’espoir, et aussi de développer une vision pour le futur. Il n’a gardé aucune amertume de l’injustice vécue.

En France, l’influence de la Révolution française a laissé des traces et on observe une certaine défiance vis-à-vis du religieux, ce à quoi la méditation peut souvent être assimilée. Pourtant la MBSR se démarque justement des pratiques religieuses et peut être vécue de manière laïque. Elle laisse la possibilité à chacun d’y mettre la forme spirituelle qu’il souhaite et ce que j’observe, c’est que de nombreux laïques la pratiquent aujourd’hui.

Quelle place pour cette pratique dans l’enseignement supérieur et vos cours à BSB en particulier ?

Dans l’éducation française d’un point de vue général il y a un manque d’éducation à l’intelligence émotionnelle. On apprend à lire, à compter, mais pas à poser des mots sur ses émotions. Dans la patrie de Descartes, nous sommes des cérébraux, des rationnels. A l’école on remplit les têtes avec de la connaissance intellectuelle, beaucoup moins, même si cela change, avec des savoir-être. Ces savoir-être, ça passe aussi par l’enseignement de l’intelligence émotionnelle selon moi, et notamment la communication non violente.

Là encore, la défiance persiste : se relier à son intériorité ne fait pas partie des priorités de l’Education nationale. Cependant, avec les travaux et l’influence du Professeur de médecine Jon Kabat-Zinn, la MBSR a connu depuis le tout début les années 80 un essor dans les universités et les institutions médicales également – Saint-Anne à Paris par exemple. Il a été clairement mis en en évidence que, en plus du traitement médical, les gens pratiquant la MBSR guérissaient plus vite. La MBSR a des effets positifs pour le corps : 25 ans d’études scientifiques démontrent cela, et la pratique n’a eu de cesse de gagner en légitimité.

Ainsi progressivement cela diffuse dans l’école, même si le développement se fait surtout en Amérique du Nord. Il y a de plus en plus de protocoles, principalement axés sur la respiration. La MBSR contribue à développer l’attention, et donc favorise la concentration. Cela permet d’atteindre un état intérieur de calme, et aide à devenir quelqu’un de pacifique, ce qui peut être particulièrement « utile » dans un certain nombre d’endroits marqués par la violence comme on en connait par exemple aux États-Unis.

Pour ma part je pratique la méditation depuis 25 ans. J’ai découvert par la suite en 2012 Kabat-Zinn et la MBSR et la dimension laïque de sa pratique lors d’une conférence donnée par le centre de Mindfulness d’Oxford University, lors d’un visiting.  Cela a été pour moi le déclencheur dans l’idée de transmettre en milieu universitaire, en tant qu’enseignante. A BSB je suis partie de l’intelligence émotionnelle : à partir de 2014, après m’être formée, j’ai proposé la MBSR à mes étudiants, simplement des séances pour se connecter à soi. Je présente cela comme une possibilité, une ouverture, une découverte, pour se relier à soi, à ses émotions, dans une logique de bien-être.

Ma porte d’entrée, c’est le bien-être. J’enseigne en RH et en conduite du changement ; quand mes élèves seront managers, en charge du bien-être de leur collaborateurs, ils seront prescripteurs. Le bien-être est devenu aujourd’hui une valeur incontournable et la MBSR peut y contribuer.

Plus d’informations sur le livre 60 Pratiques de méditation de pleine conscience

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

Mission accomplie pour la première du Greek Wineries Project

Des élèves de la School of Wine en Grèce pour présenter leurs propositions de stratégie export à quatre domaines vinicoles

Pour la première fois cette année, les élèves de la School of Wine & Spirits Business (SWSB) se sont mobilisés dans le cadre d’un tout nouveau projet unique en son genre, le Greek Wineries Project. En partenariat avec la Fédération hellénique des vins, la principale organisation de producteurs des vins grecs (65 % en volume, 80 % des exports au niveau national), les étudiants, par petits groupes, ont mené des études poussées pour la Fédération ainsi que pour quatre domaines vinicoles grecs afin de leur élaborer des stratégies export très concrètes. Pendant quelques jours en juin, ils ont pu se rendre en Grèce afin de présenter les conclusions de leur travail aux intéressés.

Rendu terrain

Pour clôturer la toute première édition du Greek Wineries Project, la quinzaine d’étudiants du MBA Wine & Spirits Business s’est déplacée à Athènes pour quelques jours en juin. Ils ont ainsi pu présenter leur analyse commerciale à la Fédération hellénique des vins ainsi qu’aux quatre établissements vinicoles grecs pour lesquels ils ont mené des études stratégiques à l’export : Vogiatzis Estate, Samartzis Estate, Karamolegos Winery et Methymnaeos Winery.

« Ce fut six mois d’une travail passionnant » explique Jason Chan, étudiant canadien du MBA Wine & Spirits Business. « Nous avons réalisé une analyse complète de la situation actuelle des vins grecs dans le monde, des tendances du marché, de l’impact du Covid, de la stratégie d’exportation, et plus encore – comme si nous faisions une véritable mission de consulting international. Nous avons pu utiliser tous les outils et apprentissages du programme et les appliquer dans un contexte professionnel réel. Notre voyage a été l’occasion privilégiée de découvrir la Grèce et son marché, mais aussi de nouer des contacts précieux avec différents domaines vinicoles. »

Pédagogie immersive

Chris McIndoe, pilote du projet, consultant et négociant, intervenant historique de la SWSB, renchérit : « Ce projet enthousiasmant n’est pas purement académique : il a aussi permis aux étudiants de mettre en œuvre la vaste expérience professionnelle acquise par chacun dans les divers domaines de leurs carrières avant leur venue à la SWSB. On a pu renforcer cette importante contribution de manière déterminante grâce à la capacité des étudiants d’intégrer d’une manière très pratique – et dans un environnement aussi proche que possible d’une situation réelle, en travaillant en étroite collaboration avec de vraies propriétés et producteurs en Grèce – de nombreux aspects théoriques qu’ils avaient étudiés au sein du MBA. »

« Nous sommes ravis de cette première édition » conclut Jérôme Gallo, Directeur de la SWSB. « Elle a confirmé que ce projet d’envergure répondait parfaitement à notre double objectif : permettre à nos étudiants d’être au plus près de la pratique du consulting international dans le cadre d’une pédagogie immersive ; et être utile à la filière vitivinicole mondiale en proposant aux producteurs une expertise de haut-niveau pour leur développement à l’international. Le Greek Wineries Project a de beaux jours devant lui. »

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

BSB signe un partenariat avec Coca-Cola European Partners

Interview de Ronan Kervadec, Responsable Marque Employeur & Relations Ecoles chez CCEP

BSB vient de signer un partenariat avec Coca-Cola European Partners (CCEP), principalement sur les dimensions RH. L’occasion de poser quelques questions à Ronan Kervadec, Responsable Marque Employeur & Relations Ecoles chez CCEP, pour nous parler de ce partenariat gagnant-gagnant qui associe BSB à un nouveau grand nom du monde de l’entreprise.

Pouvez-vous nous présenter CCEP en quelques mots ?

Nous sommes le premier embouteilleur au monde de la Coca-Cola Company. Notre mission, c’est de produire et distribuer des boissons du groupe Coca-Cola, soit une quinzaine de marques dont des appellations fameuses comme Fanta, Sprite, Monster ou Capri-Sun. En France nous avons cinq usines, qui produisent 90% des boissons du groupe Coca-Cola vendues dans l’hexagone. Sur ce marché français, nous sommes leaders des boissons sans alcool avec 20% de parts de marché. Nous comptons 2.500 collaborateurs à travers le pays, avec des métiers en usine, au siège, ainsi que des commerciaux.

Notre principal enjeu business est évidemment de rester leader sur le marché, en actionnant principalement deux leviers : en capitalisant sur la marque Coca-Cola, largement connue et reconnue ; et en se diversifiant, comme nous l’avons fait récemment avec le rachat de Tropico, ou en lançant pour la première fois cette année une boisson alcoolisée, Topo Chico.

Mais nos enjeux sont aussi liés à la RSE puisque nous voulons également être leaders en la matière, grâce à une politique baptisée « En action ». Celle-ci se déploie à travers six grandes thématiques : boissons, emballage, société, eau, chaine de valeur et climat. Nous sommes d’ailleurs particulièrement attachés à ce dernier point puisque nous avons la grande ambition d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2040.

Pourquoi engager un partenariat avec BSB ?

Déjà ce partenariat formalise un peu plus une réalité existante, puisque nous nous sommes aperçus que nous recrutions déjà beaucoup de stagiaires, alternants et diplômés de BSB ! Avec cet accord, nous pouvons aller plus loin. Les partenariats avec les grandes écoles nous permettent d’aller au-delà de l’impact de notre marque, qui est certes puissant mais pas suffisant pour attirer les meilleurs talents.

Il est important pour nous de cibler des écoles pour continuer de construire l’entreprise de demain, et en cela BSB correspond à 100% à ce que nous recherchons en termes de profils de collaborateurs, mais aussi du point de vue des valeurs et du relationnel. Ce que j’apprécie avec BSB, c’est la qualité d’écoute, et cette grande capacité d’adaptation à nos demandes. On nous aide vraiment à trouver les profils que l’on recherche.

Un tel partenariat nous permet aussi une visibilité précieuse auprès des futurs talents et de faire découvrir la réalité de nos métiers – par exemple grâce aux interventions que je fais à BSB. Nous profitons de l’excellence académique de l’Ecole, tandis que l’Ecole profite de notre excellence professionnelle : c’est gagnant-gagnant ! Enfin il y a un autre atout à notre partenariat : le positionnement territorial de BSB sur le grand est, qui est très pertinent pour nous.

Que recherchez-vous chez un diplômé de grande école de management ?

Évidemment nous recherchons des compétences, qui dépendent bien sûr des postes en question. Chez BSB, nous allons plutôt nous intéresser à des profils commerciaux et marketing. Mais nous sommes attachés à ce que les candidats puissent faire valoir d’autres expériences, en lien avec le métier ou pas d’ailleurs : toute expérience est souvent bonne à prendre… et à valoriser !

Nous recherchons l’envie d’apprendre, des gens curieux et passionnés. Pour un profil commercial il est important d’avoir la fibre… commerciale ! Cela peut en tout cas faire la différence en entretien. Nous rencontrons parfois des candidats qui veulent nous rejoindre juste car nous sommes Coca-Cola… C’est bien, mais ce n’est pas suffisant : il est aussi important de vouloir du sens à ce que l’on fait.

Quelle est votre philosophie générale en termes de RH ?

Tous nos postes sont ouverts à tout le monde ! Nous avons un vrai crédo autour de la diversité et de l’inclusion, avec la forte volonté d’éviter toute discrimination. Nous essayons de faire parler les minorités, notamment à travers cinq groupes thématiques de travail sur le handicap, le genre, la question ethnique, l’âge et la sexualité.

Nous souhaitons aussi créer de vrais parcours de carrière, en gardant les personnes longtemps chez nous. Aujourd’hui notre moyenne d’ancienneté est de 13 ans, ce qui est considérable. 40% de nos recrutements ont lieu en interne, par exemple moi-même je suis un ancien stagiaire ! Mais nous ne voulons pas que ces parcours de carrière soient prédéfinis : nous allons chercher la personnalité plus que les compétences pour développer ces parcours en interne, avec des collaborateurs qui font des choses très différentes tout au long de leur carrière dans l’entreprise.

Enfin nous attachons une attention toute particulière à la qualité de vie au travail. Il est primordial que les gens se sentent bien dans leur environnement de travail, qu’ils se sentent engagés dans l’entreprise, que l’interaction entre vie professionnelle et vie personnelle soit la plus fluide possible.

Retour à la liste des actualités

NOTRE STORY POUR S’INFORMER inspire.

NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.