juin 2021 - Burgundy School Of Business

InterviewAlumni – Morgane Pagliarulo, une ancre pour les entrepreneurs

Co-fondatrice de SAILERS

Quelle est ton année de promo BSB ?
Je suis issue de la promo du Bachelor 2016. J’ai effectué mes deux premières années en cursus continu à Dijon et la dernière année en alternance sur le campus de Lyon.

Qui es-tu, avant d’être co-fondatrice de SAILERS ?
Née à Dijon, j’ai 26 ans et suis entrepreneuse ! Passionnée de voyage, de sport (ancienne championne de boxe française et full contact) et de nature, j’aime partager et entreprendre dans les thèmes qui me tiennent à cœur.

Et sinon, tu fais quoi dans la vie… professionnellement ?
Aujourd’hui co-fondatrice de SAILERS, un réseau d’entrepreneurs à destination des freelances spécialisés dans les métiers du numérique, j’ai quitté le salariat pour m’épanouir dans un projet qui correspondait à mes valeurs. Je mène en parallèle d’autres projets entrepreneuriaux qui verront bientôt le jour en Côte d’Or !

Si tu devais présenter SAILERS un enfant ?
SAILERS, c’est “marins” en anglais, car dans l’équipe nous aimons comparer le monde de l’entrepreneuriat à un grand océan dans lequel tu te jettes quand tu décides de créer ta boîte et dans lequel il n’est pas facile d’émerger. SAILERS c’est une communauté ouverte aux freelances du numérique qui souhaitent bien s’entourer, se former et se soutenir pour développer leur structure. Notre but est d’aider ces profils graphistes, développeurs, consultants digitaux… qui souhaitent faire avancer significativement leur activité en faisant partie d’une équipe soudée.
En adhérent, tu deviens un marin du web et tu accèdes à :
👉🏻 Un tchat privé pour échanger avec d’autres marins ;
👉🏻 Des rencontres mensuelles avec les membres ;
👉🏻 Des webinaires de formation sur la gestion d’entreprise ;
👉🏻 Des masterclass dédiées au secteur du numérique pour monter en compétence ;
👉🏻 Un référencement sur notre site internet ;
👉🏻 Des réponses aux questions quotidiennes du chef d’entreprise.

La plus grande fierté que tu aurais dû davantage célébrer ?
Je suis partie durant une année en voyage autour du monde. Aujourd’hui le contexte sanitaire est compliqué, je sais que j’ai eu beaucoup de chance de découvrir ces endroits et j’aurai dû encore plus en profiter !

La plus grosse difficulté que tu as vécu jusqu’ici avec SAILERS ?
Des difficultés à faire prendre conscience à des indépendants qu’investir sur eux-mêmes était primordial pour le développement de leur activité. Parfois, une bonne rencontre peut tout changer et faire décoller une boîte. C’est pourquoi faire partie de réseaux est très important à mes yeux.

Les autres membres de l’équipe SAILERS


Un témoignage ou un avis à partager concernant l’épisode Covid-19 ?
C’est le Covid qui m’a permis de franchir le cap de l’entrepreneuriat, je me suis dit que c’était le moment de se lancer et de faire ce qu’il me plaisait.

Un acteur du changement, c’est quoi pour toi ?
C’est quelqu’un qui sait s’adapter, qui agit et qui prend en compte son impact environnemental et social. Cette citation d’Elon Musk illustre bien ce propos : « J’avais le choix entre regarder les choses se produire, ou en être acteur ».

Ta morning routine pour avoir l’énergie de changer les choses chaque jour ?
Je commence par me ressourcer en faisant un petit tour dans mon potager, en écoutant la nature et en profitant de l’air frais. Quand il fait moche j’écoute de la musique !

L’événement qui t’a donné envie de contribuer au changement ?
Avant de devenir entrepreneure, je travaillais dans une association nommée BGE, en tant que conseillère en création d’entreprise. J’ai finalement eu moi-même envie d’entreprendre. J’ai réalisé que les entrepreneurs que j’accompagnais avaient du mal à se faire épauler et soutenir dans leur vie professionnelle, c’est comme cela que l’idée de créer moi-même un réseau d’appui aux entrepreneurs du numérique m’est venue. Un réseau spécialisé dans les métiers du numérique, car pour moi c’est un secteur d’avenir qui attire et qui est prometteur.

Quel genre d’étudiante étais-tu ?
Le genre à poser mille questions quand le sujet m’intéressait !

Si tu pouvais revivre ta période étudiante, que ferais-tu autrement ?
Je me serais lancée dans l’entrepreneuriat en même temps que mes études.

Quel est le choix de parcours ou l’action entreprise lorsque tu étais étudiante qui t’a le plus servi ?
Ma dernière année d’alternance m’a vraiment beaucoup apporté, j’ai découvert le monde de l’entreprise, pu mettre de l’argent de côté et devenir indépendante.

Ta prochaine grande ambition ?
Mener à bien mes autres projets entrepreneuriaux dans le milieu du tourisme vert. Vous en entendrez bientôt parler !

Un conseil ou un message à donner à un étudiant de BSB ?
Choisissez l’alternance !


Plus d’info sur SAILERS :

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NOTRE STORY INSPIRE EST UNE INVITATION À LA DÉCOUVERTE D’INITIATIVES À IMPACT POSITIF. VÉRITABLE REVUE DE TENDANCES, ELLE A POUR OBJECTIF DE SENSIBILISER NOTRE COMMUNAUTÉ AUX DÉMARCHES RESPONSABLES, D’ÉVEILLER LES CONSCIENCES ET DE POUSSER À L’ACTION.

La première Cuvée BSB dévoilée

ÉPISTÉMÊ, élaborée pendant un an par une élève de la School of Wine avec le vigneron Armand Heitz

Toute cette année scolaire, Marie Marc, élève du MSc Wine Management de la School of Wine & Spirits Business (SWSB), a vécu une expérience unique : elle a créé aux côtés du vigneron Armand Heitz (Chassagne-Montrachet) une cuvée originale pour le millésime 2020, baptisée ÉPISTÉMÊ. Marie a raconté toutes les étapes de son aventure sur un blog de bsb-education.com. Les 300 bouteilles de cette première Cuvée BSB ont été acquises par la SWSB pour en faire profiter ses communautés.

Expérience inédite et partage

Pour la première fois, une élève de la SWSB s’est vue offrir l’occasion de participer à l’élaboration complète d’une cuvée auprès d’un vigneron. Ce projet de cuvée collaborative se fait en partenariat avec le domaine viticole Armand Heitz situé à Chassagne-Montrachet. Il a permis à Marie Marc, choisie par le vigneron, de se rendre régulièrement au domaine sur l’année afin de l’assister dans les différentes tâches de vinification. Elle a raconté toutes les étapes de sa passionnante aventure sur un blog du site bsb-education.com.

« Ce fut une superbe expérience », explique Armand Heitz. « Marie a été une coéquipière de grande qualité, son écoute, ses idées, son engagement ont été très précieux, et nous sommes particulièrement heureux du résultat. Le nom ÉPISTÉMÊ nous a semblé parfaitement convenir à cette cuvée. Un terme qui évoque à la fois la connaissance et les dimensions de transmission et de partage, des notions fondamentales pour moi et dans notre métier, et avec lesquelles nous étions parfaitement en accord avec Marie. » 

Culture terrain et futures Cuvées BSB

Marie Marc abonde : « Ce fut une occasion privilégiée d’être immergée au sein d’un domaine et d’approfondir sur le terrain mes compétences en vitiviniculture. Je n’en retiens que du bon, des connaissances et des émotions. Et un vin que je suis fière de faire découvrir. L’aventure avec Armand était d’autant plus puissante que je suis totalement en phase avec sa philosophie proche de la nature. »

« C’est une première particulièrement réussie ! », conclut Jérome Gallo, Directeur de la SWSB. « J’aime tout dans ÉPISTÉMÊ. Le vin, l’étiquette, l’histoire que cette cuvée raconte. Elle illustre parfaitement la pédagogie que nous développons à la SWSB, c’est-à-dire des formations proches du terrain qui permettent à nos étudiants d’être pleinement conscients des enjeux des professionnels. Et je vais avoir un grand plaisir ces prochains mois à partager ces bouteilles avec toute notre communauté – élèves, diplômés et partenaires – et à renouveler cette initiative l’année prochaine ! »

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Pourquoi BSB est numéro 1 en management culturel

Près de 300 élèves suivent des formations dédiées, adaptées à l’évolution du secteur

Un récent classement publié par le média étudiant Up2School positionne BSB à la première place en « management des institutions culturelles » parmi les business schools françaises. Ce leadership est hérité d’une riche antériorité, avec la création du MS MECIC-Paris (Management des Entreprises Culturelles et Industries Créatives) dès 1990. Il est cultivé jusqu’à aujourd’hui avec par exemple la possibilité de suivre un Parcours d’Excellence Culture dès la première année du Master Grande Ecole – BSB étant la seule Ecole à proposer cela. Près de 300 élèves sont engagés dans les différents programmes « Culture », en évolution permanente pour s’adapter à un secteur en mutation constante, et assurant d’excellents taux d’insertion malgré une situation globale difficile.

Au plus proche de la réalité professionnelle

La reconnaissance de ce leadership en management culturel tient en bonne partie à cette proximité avec le monde professionnel. « Évidemment ces derniers mois sont compliqués pour le secteur culturel », reconnait Jean-Yves Klein, Directeur du MS MECIC-Paris, « mais malgré cela nos étudiants ont eu de très belles opportunités de stages cette année : chargée de communication au Musée du Jeu de Paume, chargée de programmation au sein d’une ville importante ou encore responsable du marketing digital dans une start-up musicale. Et les perspectives d’emploi sont favorables. »

« A la fois nous plongeons nos élèves dans un écosystème et des réseaux puissants – les parrains du MS MECIC-Paris étaient cette année Jack Lang et Corina Suteu, ancienne Ministre de la culture de Roumanie ! ; et nous les accompagnons afin qu’ils développent les compétences dont les professionnels de la culture ont besoin – et vont avoir besoin. Par exemple le marketing digital dédié à la culture justement, est un enjeu stratégique. L’accent est largement mis dessus. Nos formations suivent l’évolution d’un secteur qui se transforme très vite, et nos diplômés sont prêts dès leur entrée en fonction. »

Renforcement du Pôle « Arts & Cultural Management »

Le management culturel est naturellement l’un des six axes d’expertise de BSB, et le Pôle d’excellence « Arts & Cultural Management » (ACM) connait actuellement un fort développement. « Nous poursuivons activement le renforcement et la structuration de l’équipe du Pôle ACM » explique Christine Sinapi, Directrice Académique de BSB. « Ainsi nous recrutons quatre nouveaux professeurs et chercheurs pour la rentrée prochaine, ce qui portera à une dizaine les membres de l’équipe – la plus importante en France dans le domaine du management culturel. »

« Au-delà des ressources académiques, nous renforçons également les dimensions pédagogiques : nous avons ainsi repensé les espaces d’enseignement pour favoriser une pédagogie active. Nous attachons aussi une importance particulière à l’entrepreneuriat culturel, et à ce titre nous sommes particulièrement heureux du nombre croissant de créations d’entreprises liées au monde de la culture par nos étudiants et jeunes diplômés. »

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Quatre expertises de BSB dans le Top 3 français !

Vin, culture, luxe et data science : Up2School place BSB au sommet

Le site étudiant de référence Up2School publie régulièrement depuis le mois de mai ses premiers classements sectoriels de business schools françaises. BSB se distingue ainsi particulièrement sur quatre champs d’expertise : le management des vins et spiritueux, le management culturel, le marketing du luxe et data science & big data. Cela recouvre ainsi trois des six Pôles d’excellence stratégique de l’Ecole : « Wine & Spirits Management », « Arts & Cultural Management » et « Behavioural Economics ».

Ces classements se concentrent principalement sur la part des enseignements dédiés dans la formation pour chaque secteur, et la place de la thématique dans la vie étudiante. Ils auscultent également la puissance des liens avec les écosystèmes économiques, notamment en termes de partenariats entreprises et d’insertion.

Leadership confirmé en management du vin et de la culture

BSB est leader en France parmi les business schools en management des vins et spiritueux et management des institutions culturelles, deux expertises historiques de l’Ecole. BSB a été pionnière dans la première, avec notamment la création du premier programme dédié de second cycle en 1988, le MS CIVS (Commerce International des Vins et Spiritueux). Aujourd’hui la School of Wine & Spirits Business est un centre d’excellence au fort rayonnement international.

La seconde est une autre expertise de l’Ecole profondément ancrée, témoin en est la création du MS MECIC-Paris (Management des Entreprises Culturelles et Industries Créatives) dès 1990, et aujourd’hui un Parcours d’Excellence Culture proposé dès la première année. « BSB se démarque de ses concurrentes (…) grâce à son expertise dans le management culturel fondée sur trois axes (l’enseignement, la recherche et l’entrepreneuriat culturel), et s’est imposée au fil des années comme un vrai leader dans le domaine », indique Up2School.

Il n’y a pas que le vin et la culture à BSB !

Au-delà de ces deux expertises traditionnelles de BSB, l’Ecole s’illustre également dans deux secteurs où elle intègre le Top 3 : en Data Science & Big Data et en marketing du luxe.

Cette reconnaissance en Data Science & Big Data vient apporter un bel écho au renforcement du positionnement de BSB sur les problématiques Data Science / Big Data / IA. La qualité de la formation académique est mise en avant, notamment via le MSc Data Science & Organisational Behaviour – qui s’appuie sur le LESSAC, laboratoire d’envergure internationale en sciences comportementales – ainsi que les partenariats et l’insertion.

La belle place en marketing du luxe, secteur à rapprocher de l’univers du vin et des spiritueux, confirme l’excellence du MSc Global Marketing & Luxury Management (qui deviendra MSc Luxury Management & Innovation à la rentrée prochaine), et notamment la pertinence du double-diplôme proposé avec LUISS (Libera Università Internazionale degli Studi Sociali), à Rome, qui permet d’obtenir le prestigieux Master in Fashion & Luxury Management.

A noter enfin que BSB figure également dans le Top 10 en marketing digital, secteur où la plupart des écoles proposent des cursus.

Consulter les différents classements Up2School :

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BJC meilleure Junior-Entreprise de business school au Prix ENGIE

Un Prix qui récompense les meilleurs partenaires de L’Enseignement Supérieur parmi les JE françaises

BJC (BSB Junior Consulting) est la Junior-Entreprise de BSB, membre de la Confédération Nationale des Juniors Entreprises (CNJE) qui regroupe plus de 25.000 étudiants et 200 Junior-Entreprises en France. La CNJE organise chaque année des prix avec ses partenaires (BNP Paribas, ALTEN, EY et ENGIE) et offre ainsi l’occasion aux Junior-Entreprises de se valoriser.

C’est ainsi que BJC vient de s’illustrer en figurant parmi les trois finalistes du Prix soutenu par ENGIE du Meilleur Partenaire de L’Enseignement Supérieur, et première parmi les JE de business schools. C’est finalement la JE de l’UTT qui a été lauréate de ce Prix.

Croissance forte

« C’est une grande fierté pour BSB Junior Consulting d’arriver parmi les trois meilleures associations ayant la meilleure relation avec l’enseignement supérieur, et donc aussi avec l’administration de son Ecole », se réjouit Emilie Paris, Présidente de BJC. « Cela illustre l’ancienneté et la qualité de la collaboration que nous avons avec BSB, qui contribue à garantir à nos clients mais aussi à nos consultants la meilleure expérience Junior-Entreprise. Cela renforce notre forte croissance, et ce n’est pas terminé ! »

BJC continue effectivement son important développement en préparant notamment l’ouverture à la rentrée prochaine d’une antenne sur le Campus BSB Lyon, qui va lui permettre de s’adresser au puissant écosystème économique de la région Rhône-Alpes. Un peu plus tôt cette année, la JE de BSB a une nouvelle fois figuré sur la liste des 30 meilleures Junior-Entreprises de France.

Depuis 1979, la BJC met à profit son expertise au service des créateurs d’entreprise, TPE, PME et Grands Groupes. Suivant un fonctionnement similaire à celui d’un cabinet de conseil, BSB Junior Consulting propose des prestations sur mesure, avec une méthodologie soucieuse de la satisfaction de ses clients pour une tarification flexible.

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Une étudiante du Bachelor deuxième des Entrep’

Avec La Vie Laine, du prêt-à-porter écoresponsable qui relocalise

Comme chaque année, les étudiants du Bachelor ont récemment participé au programme Les Entrep’, qui invite à mener, en équipe, un projet de création d’entreprise grandeur nature. Ils étaient 21 élèves du programme post-bac de BSB à participer à cette nouvelle édition. Parmi eux, Myriam Habib fait partie de l’équipe qui a gagné Les Entrep’ Bourgogne, et s’est ainsi qualifiée pour la finale nationale à laquelle elle a obtenu la deuxième place.

Ce qui a séduit le jury de professionnels ? Un projet baptisé La Vie Laine, une marque de prêt-à-porter qui se fixe comme objectif de se procurer la matière première à un prix un peu plus élevé afin d’assurer une meilleure rémunération des éleveurs, créer des débouchés et booster le circuit de production français en revalorisant les différentes étapes de transformation et de réalisation des produits.

« Participer aux Entrep’ avec un tel projet est une fierté » témoigne Myriam, « d’autant plus lorsque l’on partage cette expérience aux côtés d’une équipe motivée et attachante. Camille, la porteuse du projet, a su composer une team avec des membres complémentaires et à l’écoute les unes des autres. Une belle équipe 100% féminine, avec des membres originaires d’institutions différentes, qui sommes devenues aujourd’hui un vrai groupe d’amies, tout cela sans jamais s’être rencontrées ! »

Penderies responsables et engagement dans l’écosystème entrepreneurial dijonnais

« Le projet d’entreprise que nous avons présenté prend tout son sens lorsque l’on regarde la consommation vestimentaire actuelle et l’abandon de nos industries vestimentaires françaises. Cette dimension de responsabilité nous tenait vraiment à cœur, et nous espérons voir prochainement nos penderies pleines de pulls La Vie Laine ! Ce résultat nous a prouvé que notre concept était viable. »

« Nous sommes évidemment très fiers de cette performance, il y avait tout de même 350 équipes à l’échelle nationale au départ de la compétition », indique Delphine Bertin, Directrice du Bachelor BSB. « Et cela démontre également notre engagement fort dans l’écosystème entrepreneurial dijonnais. »

Suivez La Vie Laine sur Instagram : @lavielaine.fr

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