mars 2021 - Burgundy School Of Business

Un alumni au concours « Meilleur Jeune Sommelier de France »

Clément Sommier (BSB’20) en demi-finale du concours de « Meilleur Jeune Sommelier de France »

Fraîchement sorti du MSc Wine Management, Clément Sommier a vu ses projets contrariés par la crise sanitaire. Une pause imposée qu’il a mise à profit pour préparer le concours. 

Clement Sommier

Savoir rebondir 

Les passionnés de vin reconnaîtront peut-être le nom de Sommier* mais peu connaissent – jusqu’ici – le prénom de Clément.  

Passionné et décidé à démarrer une carrière internationale dans le monde du vin, Clément choisit d’intégrer le Master in Management de BSB en 2018 avec pour objectif affiché de suivre le MSc Wine Management en 2nde année et d’obtenir ainsi un double diplôme spécialisé. 
La suite de l’histoire de Clément devait s’écrire en Afrique du Sud pour commencer, puis tout autour du monde, mais la Covid-19  a subitement tout remis en question.  

Comment aborder un tel revirement de situation ? 

Clément a acquis des connaissances solides tout au long de sa vie. Dès ses jeunes années et les dégustations en famille, dans les vignes lors de job temporaires et bien sûr, pendant les cours à la SWSB. A travers aussi de très nombreuses visites de caves et de vignobles dans toutes les régions de France, en famille, organisées dans le cadre du MSc Wine Management, ou simplement avec quelques copains de classes. Ne comptant pas s’arrêter là, il se lance un défi : celui de présenter le concours de « Meilleur Jeune Sommelier de France » 

Se donner les moyens de ses ambitions 

Gonflé à bloc, Clément revoit ses classiques, ses bases historiques et ses connaissances techniques, reprend et approfondit ses cours – et notamment ceux de son professeur à la SWSB Steve Charters – et ses préparations aux diplômes du WSET, obtenus dans le cadre du MSc. Et ce travail paie.  

A l’issue des épreuves de sélection du concours du Meilleur jeune sommelier de France, 11 candidats parmi 120, dont Clément, sont sélectionnés pour participer aux demi-finales et finales qui ont lieu le 13 juin en Normandie, sous la direction de David Biraud (Meilleur Jeune Sommelier de France 1998).

Plus qu’un aboutissement, c’est pour Clément une occasion d’affirmer ses compétences dans une véritable mise en contexte de restaurant aux côtés d’autres candidats dont certains sont déjà sommeliers de métier et notamment un autre Clément, Clément Delécluse, officiant au Restaurant Empreinte à Lambersart et sacré 33e Meilleurs Jeune Sommelier de France après avoir été classé second du concours du Meilleur élève sommelier en vins de France il y a 5 ans. Un grand Bravo à lui.

Oser et se faire plaisir

Au delà de la compétition, cette expérience restera pour Clément une parenthèse marquante pendant laquelle il a appris énormément, a enrichi sa culture professionnelle et a fait des rencontres fantastiques.

Son conseil aux étudiants de la SWSB : “Vivez votre passion. Faites-vous plaisir et osez vous risquer hors de votre zone de confort”. Il a osé, et son audace (et son travail) lui aura permis de gagner en crédibilité en tant que jeune professionnel et – actuellement en recherche de poste – de booster son CV et trouver où écrire la prochaine page de son histoire professionnelle…


*Le père de Clément, mentor et soutien sans faille, est n’est en effet autre que Fabrice Sommier, Chef Sommelier au Restaurant gastronomique*** Georges Blanc, Meilleur Ouvrier de France Sommelier 2007, Master of Port (Meilleur sommelier en vins de Porto) 2010 et Président du 104ème Tastevinage au Château du Clos de Vougeot en 2019.

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Interview d’Antoine Dupré (CIVS’11)

Le nouveau DG de la Maison de vin Vidal-Fleury partage sa vision

Antoine Dupré est diplômé de la promotion 2011 du MS CIVS (Mastère Spécialisé en Commerce International des Vins & Spiritueux) de la School of Wine & Spirits Business (SWSB). Il vient de prendre la Direction Générale de Vidal-Fleury, Maison de vin prestigieuse fondée en 1781, à la forte renommée internationale. Métier, marchés, environnement, tendances : il fait pour nous un tour d’horizon de quelques sujets clés du moment.

Quelle est ta vision globale du marché international aujourd’hui et comment s’y positionner pour une Maison comme Vidal-Fleury ?

Je dois avouer que ma vision est plutôt pessimiste ! Entre la taxe Trump aux Etats-Unis – notre marché numéro 1 –, entre les incertitudes commerciales liées au Brexit – le Royaume-Uni est un gros marché pour nous aussi ! –, la fermeture des restaurants en France et j’en passe, cette année sera compliquée…

C’est pourquoi, et c’est ce que j’ai appris de mes expériences précédentes dans des plus grandes structures, un seul mot d’ordre : nous devons être partout ! Il n’y a pas de « petits » marchés, il y a des marchés à développer et à fidéliser.

C’est le moment de « semer des graines ». Il faut un minimum de 3 années pour se développer, c’est un travail de longue haleine.

Malgré tout, y-a-t-il des nouveaux marchés d’export où tu aimerais spécifiquement « semer des graines » ?

Les premiers marchés que je souhaiterais « pousser » – et c’est bien le terme car nous n’avons pas assez de volume pour parler d’autre chose au vu de la grandeur du marché – c’est la Chine, Singapour et Hong-Kong.

La problématique principale du très particulier marché chinois est qu’il est nécessaire d’avoir quelqu’un sur place pour s’assurer de la bonne tenue des process, pour dynamiser les forces commerciales, pour aller plus vite. Si je considère ces 3 pays comme un seul et même marché, malgré les difficultés engendrées par la crise sanitaire, il représente le deuxième marché des vins et spiritueux français.

Donc il y a du potentiel, nous devons mettre les moyens pour s’y développer. Le Brésil a un sacré potentiel également mais subit de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. L’Europe du Nord a été plutôt dynamique cette année avec de belles progressions, notamment aux Pays-Bas qui ont beaucoup consommé durant cette période. Enfin, d’une manière globale, les marchés gérés par le biais de monopoles étatiques (Canada mais aussi Suède ou Norvège) sont restés assez dynamiques également, avec une bonne gestion de l’offre des vins importés.

Comment vois-tu la place des vins français sur le marché international ? Est-ce qu’ils dominent encore ou est-ce un mythe qui commence à tomber ?

Pour moi, la place des vins français à l’international est un mythe qui est déjà tombé !

Regardez le Royaume-Uni par exemple : les premiers vins importés sont aujourd’hui australiens, chiliens… C’était pareil pour la Chine qui avait « boudé » les vins de Bordeaux au profit des vins australiens, en créant même une politique de libre-échange entre les deux pays ! Stratégie rompue en 2020 par la Chine suite notamment à l’appel de l’Australie pour que soit menée une enquête internationale sur les origines de l’épidémie de Covid-19. Entre parenthèses, cette situation me fait d’ailleurs penser qu’il y aurait peut-être ici une carte à jouer pour les vins de la Vallée du Rhône…

Les vins français conservent évidemment leur réputation, mais au sein d’une même région, nos concurrents sont aussi sud-africains, australiens, chiliens… Ils n’ont pas les mêmes contraintes de production que nous avons en appellation, tout en étant très bons techniquement et pour certains avec des coûts de main d’œuvre qui sont loin des nôtres.

Quel est ton avis sur l’essor des démarches dites responsables ?

Nous devons tous nous impliquer dans des démarches plus « eco-friendly ». Au-delà de la demande qui émane de nombreux marchés, c’est une nécessité en soi.

Je ne suis pas un pro-bio – même si j’ai déjà œuvré à la conversion d’un domaine – ou un pro-biodynamie, mais dans tous les cas il me semble fondamental de raisonner notre impact. Tout n’est pas noir ou blanc : il y a du très positif dans l’agriculture bio, mais aussi du moins bon comme l’accumulation dans les sols de métaux lourds tels que le cuivre. D’où à mon sens l’importance de développer une vraie « agriculture raisonnée », sans dogmatisme.

Il ne faut pas oublier qu’un viticulteur est avant tout un agriculteur : pour vivre il doit produire, et pour produire il doit lutter du mieux possible contre toutes les maladies et contre tous les problèmes qui peuvent entraver cette production. Je pense à l’herbe par exemple, qui est le plus gros des challenges en agriculture biologique.

Ton arrivée à la Direction de Vidal-Fleury s’est accompagnée de l’annonce d’un renforcement de la stratégie environnementale : en quoi consiste-t-elle ?

L’idée est de se positionner dans cette fenêtre d’amélioration qu’est le raisonnement strict de son mode de culture, en privilégiant des démarches respectueuses de l’environnement. A notre niveau aujourd’hui, la « Haute Valeur Environnementale » HVE niveau 3 m’apparait la plus cohérente tant au niveau national qu’à l’international.

C’est pourquoi j’encourage l’ensemble de nos partenaires à s’engager librement dans cette voie. L’agriculture durable et raisonnée est l’agriculture de demain. Beaucoup de marchés à l’export nous le demandent. Il ne faut pas oublier que faire du vin est facile aujourd’hui, mais le vendre est plus compliqué pour beaucoup d’acteurs de la filière, qui est un secteur ultra-concurrentiel tant au niveau local qu’à l’international. Rattraper notre retard en termes d’environnement est donc un impératif.

Que peux-tu dire de l’impact du Covid sur les tendances de marché ?

Clairement la situation contribue à l’essor des achats en ligne.

On assiste également au développement des BIBs – pour « Bag In Box » –, ces poches de vin sous vide, munies d’un petit robinet.

Cette pratique est synonyme de plus gros volumes, et au-delà d’une simple tendance, je pense que c’est devenu une façon réelle et durable de consommer !

Enfin évoquons ton passage à la School of Wine, au sein du MS CIVS : as-tu un souvenir à partager et un conseil à donner à un étudiant qui voudrait avoir un parcours similaire au sien ?

Ce n’est pas un seul souvenir mais plusieurs que je retiens du MS CIVS: les différents voyages d’étude, toujours très enrichissants.

Et puis le conseil que je donnerais, c’est d’être à l’écoute du marché, d’être bien dans ses bottes et de faire son job le mieux possible.

Sachez également saisir les opportunités quand elles se présentent… et où elles se trouvent – ce qui peut nécessiter de prendre un abonnement chez un déménageur et d’avoir une famille prête à vous suivre !

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Quand les élèves de la School of Wine élaborent la stratégie...

Un programme pédagogique unique au monde de consulting international pour les domaines vinicoles

Pour la première fois cette année, les élèves de la School of Wine & Spirits Business (SWSB) sont mobilisés dans le cadre d’un tout nouveau projet unique en son genre, baptisé Greek Wineries Project. En partenariat avec la Fédération hellénique des vins, la principale organisation de producteurs des vins grecs (65 % en volume, 80 % des exports au niveau national), les étudiants, par petits groupes, vont mener des études poussées pour des domaines vinicoles grecs afin de leur élaborer des stratégies export très concrètes. Une occasion inédite pour ces étudiants d’être immergés dans la pratique réelle du consulting international, et pour les domaines de bénéficier d’une expertise précieuse afin de se développer sur les marchés du monde entier.

Incomparable expérience pour les élèves au service de la filière

« Nous sommes très heureux de lancer un programme de cette envergure » explique Jérôme Gallo, Directeur de la SWSB. « Notre objectif est double : permettre à nos étudiants d’être au plus prêt de la pratique du consulting international dans le cadre d’une pédagogie immersive ; et d’être utile à la filière vitivinicole mondiale en proposant aux producteurs une expertise de haut-niveau pour leur développement à l’international. »

Pour cette première édition du projet, qui devait débuter en novembre dernier mais se déploie finalement sur un semestre à partir de février compte tenu du contexte Covid, 4 domaines grecs ont été sélectionnés. « Le vin, c’est de la culture », poursuit Jérôme Gallo. « Et avec la Grèce nous sommes servis ! Il y a aujourd’hui environ 1.300 producteurs dans ce pays, avec une grande qualité d’ensemble et surtout des perspectives de développement enthousiasmantes. Le vin grec a déjà attiré l’attention de marchés internationaux mais l’objectif et de proposer une stratégie sur mesure à des « boutique wineries » en quête de développement de leurs exports. Ainsi, la Grèce est une zone idéale pour inaugurer notre programme, qui a vocation à s’étendre à d’autres espaces du globe dès l’an prochain. Nous bénéficions également pour cela de notre proximité avec Théodore Georgopoulos, Directeur général de la Fédération hellénique des vins grecs, intervenant historique de la SWSB. »

Contenu à la fois global et spécifique

La quinzaine d’élèves du MBA Wine & Spirits Business est concernée par la première édition du Wineries Project, qui doit s’adresser à l’ensemble des programmes de la SWSB à l’avenir, pour bénéficier à terme à une douzaine de domaines par an. Par groupes de 3 ou 4, ils vont dans un premier temps travailler sur le potentiel de l’ensemble de la filière grecque sur les marchés. Puis dans une seconde grande étape, de nouveaux groupes sont constitués et l’on associe à chacun d’eux un domaine particulier, pour qu’une étude spécifique au producteur soit menée.

« La première étape a débuté par une phase de dégustation d’une vingtaine vins envoyés par les 4 domaines », détaille Chris McIndoe, pilote du projet, consultant et négociant, lui aussi intervenant historique de la SWSB. « La finalité pour chacun des groupes est de produire un rapport de 80 de pages, dont une quarantaine présentant une stratégie export individualisée et adaptée pour le domaine, avec des recommandations marketing notamment : en fonction des types de vins produits, sur quels marchés dois-je aller et comment ? Parfois les informations peuvent être sensibles, aussi faisons-nous signer aux étudiants une charte de confidentialité. » Les soutenances sont prévues en juin… à Athènes si les conditions le permettent.

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Les Mastères Spécialisés de BSB toujours au top !

Le MS CIVS et le MS MECIC Paris numéros 1 de leur catégorie pour la cinquième année consécutive

C’est le cas depuis de nombreuses années : les deux Mastères Spécialisés de BSB sont les meilleurs ! Les classements 2021 d’Eduniversal le confirment pour la cinquième année consécutive avec l’obtention de la première place de leur catégorie pour ces programmes : en management du vin et en management culturel, on ne fait pas mieux en France.

Ainsi le MS CIVS (Mastère Spécialisé en Commerce International des Vins et Spiritueux) se classe 1er en France dans la catégorie « Management du vin et de la Gastronomie ». Ce programme historique fut le premier créé en France dans ce secteur, en 1988, et rayonne en France comme à l’international. L’intégralité du classement est à retrouver ici.

De son côté le MS MECIC Paris (Mastère Spécialisé en Management des Entreprises Culturelles et des Industries Créatives) vient de se voir classé 1er en France dans la catégorie « Management des Entreprises Culturelles ». Le programme, créé en 1990, bénéficie également de son ancienneté pour être aujourd’hui intégré par tous les acteurs économiques culturels. L’intégralité du classement est à retrouver ici.

La hiérarchie de ces classements est déterminée à partir de trois critères principaux : la notoriété de la formation, le salaire de sortie et le retour de satisfaction des étudiants.

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BSB troisième au classement HappyAtSchool® 2021

L’Ecole une nouvelle fois sur le podium des écoles où il fait bon étudier

La deuxième édition du classement HappyAtSchool® élaboré par ChooseMyCompany a livré son verdict ce 11 mars : parmi les grandes écoles de management, BSB se positionne à la 3e place des institutions préférées des étudiants et où il fait bon étudier. Après avoir obtenu le label HappyAtSchool® pour la deuxième fois, l’Ecole confirme ainsi toute l’attention portée à l’accompagnement et au service de ses élèves.

Le classement repose seulement sur les avis certifiés des étudiants. ChooseMyCompany a interrogé 14 121 étudiants sur 6 thèmes : Installations / Pédagogie / Vie Etudiante / Confiance en l’Avenir / Relation aux Entreprises / Enseignement à Distance. Il est à noter une participation exceptionnelle de la communauté BSB, avec près de 80% de répondants parmi les élèves sollicités.

Les écoles qui s’occupent le mieux de leurs étudiants pendant la crise sanitaire

Au vu du contexte compliqué, l’évaluation porte beaucoup cette année sur la capacité qu’on eut les établissements à prendre soin de leurs étudiants. Les nôtres affirment ainsi leur satisfaction et reconnaissent dans les grandes largeurs la qualité des mesures mises en place pour garder le lien, de l’adaptation de la pédagogie et de la préparation à la vie professionnelle.

Consultez le Classement HappyAtSchool® ChooseMyCompany pour les grandes écoles de management.

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Deux élèves de BSB reçoivent une bourse du Rotary Dijon Ducs...

Dans le cadre du partenariat de BSB avec le Rotary Dijon Ducs de Bourgogne, deux étudiants ont récemment reçu une bourse en provenance du club (photo).

Ainsi Camille Joguin a obtenu une bourse de 1.200€. « Le contexte de crise sanitaire a rendu un certain nombre de choses difficiles ; ce coup de pouce va notamment me permettre de me payer mon abonnement TER et ainsi de me rendre à mon stage sans encombre », se réjouit Camille. Simon Pradier reçoit lui une bourse de 1.000€. Il va les mettre à profit dans le cadre de son projet de semestre à l’étranger au printemps 2021, qui contribuera au développement de l’accès des jeunes à l’éducation au Sénégal. Une troisième bourse a été attribuée à Maël Boudenia, élève sur le campus Dijon de Sciences Po.

« Chaque année, le Rotary club Dijon Ducs de Bourgogne soutient plusieurs projets de jeunes de moins de 28 ans avec une bourse allant de 600€ à 1.000€, en fonction de l’intérêt du projet – sur le plan social, humanitaire, technique ou scientifique – et de la situation financière de l’étudiant », détaille Dominique Putois, Président du club Rotary Dijon Ducs de Bourgogne. « En 2021, les jeunes boursiers seront associés aux actions de notre club – collecte alimentaire, don du sang, épicerie sociale et solidaire au sein de l’Université de Bourgogne, etc. – et viendront rendre compte de l’avancement de leur projet devant les Rotariens. »

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Un grand concours sur les marchés mondiaux du vin

Les élèves de la School of Wine engagés dans la seconde édition du Global Wine Challenge les 11 et 12 mars 2021

La deuxième édition du Global Wine Challenge se tient les 11 et 12 mars à la School of Wine & Spirits Business (SWSB) de BSB, à Dijon, pour la partie présentielle – mais également à distance compte tenu des circonstances. Cette compétition académique réunit quatre équipes de quatre étudiants issus de programmes de la SWSB et du Master 2 de Droit des Vins et Spiritueux de l’Université de Reims. Ils vont plancher sur une étude de cas concrète liée au business du vin et des spiritueux, concoctée par la Fédération Internationale des Vins & Spiritueux (FIVS), institution de référence mondiale du secteur. Les deux équipes finalistes défendront leur projet devant un jury d’experts.

Challenge unique

Symbole de liens toujours plus renforcés avec les acteurs majeurs du secteur des vins et des spiritueux, la SWSB accueille cette seconde édition du Global Wine Challenge à Dijon. La compétition met aux prises quatre équipes mixtes d’étudiants issus de trois programmes de la SWSB (MBA Wine & Spirits Business, MS CIVS et MSc Wine Management) et du Master 2 de Droit des Vins et Spiritueux de l’Université de Reims.

Les participants baseront leurs présentations sur une étude de cas liée au commerce international des vins et spiritueux, et utiliseront à titre de référence FIVS-Abridge, une base de données d’accords et de réglementations nationales pour les vins et spiritueux. Les deux équipes qui atteindront la finale défendront leurs arguments devant un jury d’experts.

« Nous sommes très fiers d’accueillir et de co-organiser le second Global Wine Challenge, qui s’affirme comme un rendez-vous incontournable du monde académique et de l’industrie des vins et spiritueux », indique Jérôme Gallo, Directeur de la SWSB. « C’est à la fois une vraie reconnaissance de la part d’une institution de référence comme la FIVS, mais aussi une expérience riche offerte à nos élèves – il suffit de voir la qualité du jury et de ses membres pour en prendre la pleine mesure ! »

Prestigieux jury international

Effectivement, les experts d’Australie, de France, d’Afrique du Sud, de Suisse et des États-Unis qui composent le jury sont particulièrement reconnus dans leur domaine :

Seyma Bas, Brand Strategy Manager (Constellation Brands) ; Katherine Bedard, Director, International Public Policy (Wine Institute) ; Laurence Berthet-Chao, consultant (Kanpei Marketing) ; Matt Dogali, President & CEO (American Distilled Spirits Alliance) ; Laura Gelezuinas, JJB Scholar, Manager (FIVS) ; Steve Guy, General Manager, Regulatory Services (Wine Australia) ; Michael Lurie, Managing Director, Brand Strategy (Constellation Brands) ; Joe Lynch, Presidential Council Member Emeritus (FIVS) ; Xavier Millard, Export Manager (Champagne Mailly) ; Kurt Moore, Chief Executive Officer (South African Liquor Brand Owners Association, SALBA) ; Jolana Novotna, Export Manager (Maison Joseph Drouhin) ; Ignacio Sanchez Recarte, Secretary General (CEEV), Rob Tobassian, President (National Association of Beverage Importers, NABI) ; Rachel Triggs, General Manager, Corporate Affairs and Regulation (Wine Australia) ; Rein-Jan Prins, Attorney at Law (AIDV).

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Les jeunes femmes présidentes !

Pour la première fois, plus de la moitié des présidents d’associations de l’Ecole sont des présidentes

Si le contexte joue certainement son rôle, c’est aussi un heureux mouvement de fond : les jeunes femmes prennent de plus en plus leur place dans les instances dirigeantes des associations de BSB. Pour la première fois, plus de 50% des postes de présidence sont féminins. Voilà un indicateur fort parmi d’autres, auxquels s’ajoutent des initiatives marquantes, qui placent l’Ecole dans une dynamique vertueuse et exemplaire dans le domaine de l’égalité femmes/hommes.

Associations : mesdames les présidentes!

Sur 26 associations étudiantes de BSB, les élections des bureaux qui ont eu lieu récemment ont livré un verdict inédit : 14 sont dorénavant présidés par des jeunes femmes. « Même si cela fait plus de 10 ans qu’il y a toujours au moins une femme responsable au sein de la vie associative, c’est la première fois qu’on dépasse les 50% », se réjouit Alexandrine Bornier, Responsable du Département Développement et Accompagnement Personnels, et qui suit de près les associations à l’Ecole. « Mieux, sur les quatre Bureaux principaux – La Fédération des Etudiants, qui chapeaute l’ensemble des associations de l’Ecole, le Bureau des Elèves (BDE), le Bureau des Sports (BDS) et le Bureau des Arts (BDA) – trois jeunes femmes sont présidentes. »

La crise sanitaire, une aubaine ?

Alexandrine Bornier poursuit : « J’ai l’impression que le contexte compliqué a fait bouger les choses et de ce point de vue, il s’avère une aubaine. Sans tomber dans la caricature, peut-être que l’absence d’événements en présentiel lors des campagnes pour l’élection des bureaux des associations a fait que les garçons sont restés en retrait, eux qui sont traditionnellement plus attachés aux phénomènes d’affichage. Et ainsi les filles ont pris la place qui était libre. Elles ont osé se présenter. Et avec la crise sanitaire, je suis convaincue que la tendance est inversée et que les choses vont changer au niveau de la place des jeunes femmes dans ces antichambres de rôles dirigeants. Parfois du positif découle de situations difficiles comme celle-ci. »

Elsa Viel, vient d’être élue Présidente de la Fédération des Etudiants. Si elle se félicite également de l’évolution de tendance, elle croit plus à un mouvement de fond : « Les choses changent et manifestement, de ce que j’observe, cela ne choque personne parmi les élèves. Aujourd’hui nous avons une majorité de femmes présidentes, avec des secrétaires hommes : les rôles s’inversent par rapport à la normalité d’il y a quelques années, c’est très bien que tombent ces stéréotypes ! »

Equality, association dédiée

Autre signe de cette évolution positive : vient de se créer une toute nouvelle association étudiante, Equality, qui s’est donnée pour mission de sensibiliser sur l’égalité femmes/hommes par différents moyens. « C’est évidemment une question globale, c’est pour cela que nos actions seront transversales, le plus souvent en collaboration avec d’autres associations de l’Ecole », explique Clémence Vassal, Présidente d’Equality.

Ainsi une semaine spéciale est organisée à partir du 8 mars sur le campus, avec au programme affichage, campagne sur les réseaux sociaux, portraits et interviews de femmes (avec Iradi’ESC, association média), confection et vente d’une broche au profit d’une association tierce (avec Mode’Emois, association mode, et Hum Events, association humanitaire), conférence, débat, collecte de dons, etc.

Egalité femmes/hommes, engagement concret

BSB se distingue à travers plusieurs autres caractéristiques et actions dans la poursuite de l’égalité femmes/hommes, notamment :

  • Une quasi-parité de sexe parmi les étudiants, les professeurs et au sein du comité de direction et de la gouvernance de l’Ecole – comme le souligne le dernier classement Master in Management du Financial Times.
  • Alors que la loi Copé-Zimmermann fête ses 10 ans, BSB est depuis 2014 la référence en France dans l’étude de la diversité au sein des conseils d’administration, avec son Baromètre de la Diversité publié chaque année par la Chaire en Gouvernance de l’Ecole.
  • L’intronisation en 2020 de 12 femmes « grands témoins » à la School of Wine & Spirits Business.
  • La participation active au Forum Génération Egalité, et notamment l’accueil d’une conférence le 10 avril prochain à Dijon avec présence ministérielle.
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