avril 2020 - Burgundy School Of Business

#INTERVIEWALUMNI – PIERRE FUGIT (BSB’13) : ‟CETTE CRISE MONTRE QUE LE...

Directeur général d’ANISEN

Qui es-tu, avant d’être DG d’ANISEN ?

ANISEN

Un homme de 30 ans, libre, qui marche chaque jour vers la connaissance que ce monde peut lui apporter. Passionné de ballon rond et le pratiquant lorsque mon temps et ma volonté me le permettent. Depuis peu, je me suis mis au paddle, un sport de raquette que je conseille à tout le monde car ludique et nécessitant une bonne réflexion sur le placement, sans demander une trop grande technique. J’essaie par ailleurs d’initier ma compagne.

Et sinon, tu fais quoi dans la vie… professionnellement ?

En tant que Directeur général d’ANISEN, j’ai un rôle fédérateur auprès d’une équipe de 14 personnes. Mon rôle est de faire adhérer chacun à notre vision d’entreprise, et avec mes associés, développer les stratégies commerciales, marketing, développement produit, définir la feuille de route technique, etc. Mais le plus important est de bien cibler les compétences de chaque collaborateur afin de les faire jouer à leur meilleur poste, comme un entraineur de foot.

Sur un plan purement opérationnel, j’ai une mission de direction commerciale pour le développement des ventes. Notre siège est à Labège, à côté de Toulouse, mais nous avons également une antenne sur Lyon, avec la volonté d’ouvrir un autre bureau d’ici la fin d’année. Cela engendre beaucoup de déplacements, plus de 50.000 km par an, pour prospecter les Ehpad en France, développer les partenariats et rencontrer les entités publiques afin de monter des projets.

Enfin, en parallèle, j’ai également une mission de Président du Cluster SilverEconomie en Occitanie depuis quelques mois. L’objectif est de fédérer les différents acteurs régionaux publics et privés afin de développer la création d’emplois dans cette région, autour de la Silver Economie.

Un mot de ton parcours entre BSB et ton job actuel ?

J’ai débuté ma carrière professionnelle à Paris au sein de Pirelli, à des postes de Trade Marketing et Pricing. Après deux ans, je suis revenu sur mes terres, en Aveyron, où j’ai fondé ma première entreprise. Au cours de cette première expérience entrepreneuriale, j’ai eu la chance de pouvoir accumuler en 18 mois la plupart des erreurs à ne pas commettre en tant que chef d’entreprise, comme le fait de s’associer avec ses meilleurs amis sans partager la même vision entrepreneuriale, contracter de nombreux prêts d’honneur, et surtout privilégier les articles de presse et les paillettes plutôt que le CA ! Une fois toutes ces erreurs faites, j’étais prêt à créer ANISEN ! On peut dire que j’ai bien expérimenté cette maxime : “échouer, c’est réussir”.

Une anecdote marquante à raconter ?

Mon premier développeur chez ANISEN était un alternant en École d’ingénieur, qui passait une semaine à l’école puis une semaine en entreprise. Un dimanche soir à 22h, il m’envoie un texto : “J’arrête l’école, je ne suis pas fait pour le monde académique !” Ce qui voulait dire également : “J’arrête l’entreprise”. C’était impensable pour moi car sans lui, je n’avais pas de produit à lancer. A l’époque, J’avais 35.000 euros de dette à cause de l’arrêt de ma première entreprise, pas de salaire, mais la certitude de vouloir réussir. Une heure après, je lui ai proposé un CDI qui attaquerait dès le lundi matin. Pour le payer, je suis allé travailler de nuit dans mon ancien lycée comme surveillant dans un internat. Tous les euros récoltés étaient pour payer son salaire, mais il ne le savait pas. Cela a duré 9 mois, le temps de sortir le premier produit et générer les premières ventes. Et j’ai eu droit à quelques réflexions cocasses de la part de certains élèves qui ne souhaitaient pas faire leurs devoirs, comme par exemple : “Si je ne travaille pas, je finirai comme toi, à 25 ans dans un lycée !”. Vous serrez les dents, vous souriez et vous pensez aux différentes étapes à passer. Cela m’a permis d’appréhender l’humilité.

Si tu devais présenter ANISEN à un enfant ?

ANISEN est une société qui développe des jeux pour que ton papi et ta mamie puissent s’amuser, garder le sourire, faire des exercices physiques, et tout cela grâce à une tablette. C’est magique ! Pour détailler un peu pour les plus grands : nous avons donc développé un logiciel de gestion de la vie sociale pour les établissements médico-sociaux. Cela consiste en des programmes d’activités thérapeutiques concoctés par des experts, sous formes de jeux, qui vont permettre à la personne âgée de développer ses aptitudes et de suivre son autonomie dans le temps. En parallèle, on a également mis au point des outils de gestion et de coordination pour le personnel, jusqu’à proposer des bilans individualisés des résidents. L’idée est de se servir du numérique pour innover dans ce secteur, où cette dimension est assez archaïque, pour aider les directions d’établissements.

La plus belle réussite que tu aurais dû davantage célébrer ?

Notre premier contrat avec un Major – un groupe d’Ehpad de plus de 100 établissements en France et de près de 260 à l’international. Entre la mise en place du projet pilote et les négociations, nous avons mis près de 18 mois à le signer. Un temps si long qu’à la fin on pensait déjà travailler avec eux sans même avoir la signature ! D’un autre côté, cela permet de relativiser et de voir ainsi ce genre de succès comme une étape et non un aboutissement !

ANISEN évolue dans un secteur particulièrement concerné par la crise liée au Covid-19 : qu’est-ce que cela t’évoque ?

Le secteur médico-social est très archaïque. Cette crise a soulevé le fait que le numérique n’était pas assez présent et qu’il pouvait apporter une aide pour la qualité de vie et le maintien du lien social. De plus, ce secteur n’est pas le plus soutenu économiquement parlant. D’un point de vue sociétal, nous délaissons de plus en plus nos aînés, et cette crise nous montre que nous devons les intégrer dans la société en les respectant, en les écoutant et en apprenant à leurs côtés. Cette épidémie met également en lumière des métiers qui sont oubliés ou qui ont une image dégradée comme les aides à domicile, les aides-soignantes… toutes ces personnes qui sont primordiales.

Un acteur du changement, c’est quoi pour toi ?

C’est un faiseur. Il ne fait pas que penser mais agit. Néanmoins, il n’agit pas seul, il fédère. Le philosophe Jean Bodin disait “Il n’y a richesse, ni force que d’hommes”. Je partage cette vision.

Un acteur du changement qui t’inspire ?

Elon Musk, le PDG de Tesla. Autant admiré que décrié, en tout cas il ne laisse pas indifférent.

Ta morning routine pour avoir l’énergie de changer les choses chaque jour ?

Un café à déguster sur ma terrasse en admirant le soleil se lever, couplé à un baiser de ma chère et tendre, et je suis paré pour attaquer cette nouvelle journée.

L’événement qui t’a donné envie de contribuer au changement ?

Pas d’évènement particulier, mais depuis ma plus tendre enfance, j’ai toujours voulu apporter ma pierre à l’édifice.

Quel genre d’étudiant étais-tu ?

Un bon mix entre étudiant studieux et épicurien. Pour preuve, je partageais mon temps entre mon poste de Vice-Président de la Junior Entreprise – Dijon Etudes Conseils, aujourd’hui BSB Consulting – et le BDE.

Si tu pouvais revivre ta période étudiante, que ferais-tu autrement ?

Rien !

Quel est le choix de parcours ou l’action entreprise lorsque tu étais étudiant qui t’a le plus servi ?

Mon parcours associatif avec la Junior Entreprise et mon année de césure, des expériences qui m’ont permis d’être dans le vif du sujet et d’allier rapidement la théorie à la pratique. Venant d’une classe préparatoire, je n’avais jamais fait de stage auparavant : cela m’a permis de voir quelles étaient les compétences nécessaires pour avancer dans les milieux qui m’attiraient.

Une rencontre qui t’avait particulièrement inspiré durant ton parcours à BSB ?

Ma première rencontre avec Stéphan Bourcieu lors de mon oral à BSB – à mon époque, c’était encore l’ESC Dijon. J’ai pu voir un sacré personnage qui utilisait son humour avec une telle énergie et une telle intelligence qu’il arrivait à fédérer chaque personne qui pouvait être dans la même pièce que lui. Durant mes cours à l’Ecole, il y a eu également Lionel Cévaër qui nous enseignait notamment la PNL (Psychologie Neurolinguistique) en nous racontant ses histoires lorsqu’il était DG de Visual. Il n’a pas hésité à redéfinir certains métiers, transformer les codes d’un marché : une personne inspirante.

Ta prochaine grande ambition ?

Un développement d’ANISEN hors de nos frontières – quelques actions sont déjà lancées ! – et sur un plan plus personnel, un agrandissement de la famille pourrait donner également encore plus de sens aux prochaines années qui arrivent.

Un conseil ou un message à donner à un étudiant de BSB ?

Toujours faire preuve d’abnégation et croire en ses rêves. Idriss Aberkane met en avant le “Diplôme de l’Echec” et ce n’est pas forcément bien vu en France alors qu’aux Etats-Unis, on dit qu’il faut couler trois boites pour en réussir une ! Travaillez, persévérez, faites preuve de vigilance et vous ne pourrez que vous approcher de vos desseins. C’est ce que je voulais illustrer avec ce visuel de l’échelle vers le ciel, et c’est particulièrement vrai pour l’entrepreneuriat : “Sky is the limit”, il n’y a pas de plafond de verre et avec du travail et de la persévérance, vous vous élèverez et tendrez vers la lumière.

Plus d’info sur ANISEN :

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UN FOND DE SOLIDARITÉ DE 100.000€ POUR LES ÉTUDIANTS

30 à 40 bourses spéciales attribuées par la Fondation BSB dans le contexte de la crise du Covid-19, et une série d’actions solidaires

Dans les conditions exceptionnelles générées par l’épidémie du Covid-19, la Fondation BSB se mobilise en débloquant un fonds de solidarité à hauteur de 100.000€, qui va permettre de financer des bourses “coup de pouce” pour des étudiants particulièrement touchés par la crise.

Fonds de solidarité

Un bon nombre de nos étudiants vit dans des situations financières très précaires, exacerbées notamment dans le contexte lié au Covid-19“, explique Sophie Pouchet-Pellerin, Responsable de la Fondation BSB. “Certains ont pu subir une suspension ou une rupture de stage, ce qui signifie une fin des gratifications, d’autres ont dû débourser des sommes imprévues pour des billets d’avion afin de revenir en France lorsqu’ils étaient à l’international, en stage ou en échange. Enfin, beaucoup subissent par ricochet les effets dévastateurs du Covid-19 sur les budgets des familles – par le biais du chômage partiel ou de fermetures d’entreprises par exemple – qui sont les premiers supports financiers de nos étudiants.

Ce sont ainsi de 30 à 40 bourses “coup de pouce” d’un montant maximum de 5.000€ qui vont être octroyées, leur montant variant en fonction de la situation personnelle de l’étudiant. Chacun est invité à déposer un dossier d’ici au 5 mai, quel que soit le programme suivi et sa nationalité, qu’il soit boursier de l’État Français ou non. Seules deux conditions sont à respecter : n’être jamais passé en Conseil de discipline à BSB et n’avoir jamais reçu d’autres bourses de la part de l’École.

Engagement sans faille et actions solidaires

Chaque année, nous attribuons en moyenne une quarantaine de bourses à nos étudiants, qu’elles soient “coup de pouce”, d’excellence ou au mérite, pour un montant global de 180.000€“, poursuit Sophie Pouchet-Pellerin. “En 2020, ce sont près de 325.000€ qui vont être distribués : les deux tiers pour 15 bourses d’excellence et 5 bourses d’incubation, et donc ces 100 000€ débloqués pour nos 30 à 40 bourses liées à la situation actuelle.

Ces bourses sont vitales pour les étudiants de BSB“, précise Bruno Duchesne, Président de la Fondation BSB et Directeur Général de la Banque Populaire Bourgogne – Franche-Comté. “Notre devoir est d’accompagner ces jeunes talents à vivre leur scolarité dans les meilleures conditions. Notre engagement doit être sans faille.” C’est cette volonté qui anime les mécènes de la Fondation – diplômés de BSB, entreprises, collaborateurs – qui chaque année soutiennent financièrement la structure grâce à leurs dons.

En cette période inédite, les valeurs de solidarité et d’entraide de BSB ne peuvent que s’exprimer avec une force décuplée. Il est naturel que cette crise amène l’Ecole à en faire encore plus, ce qui se matérialise par une série d’actions solidaires baptisée “Act for Change”, dont ce fonds de solidarité est une émanation.

A propos de la Fondation BSB: Créée en 2014, la Fondation BSB accompagne le développement de l’Ecole en soutenant des missions d’intérêt général réparties sur 3 piliers forts: Excellence (construire l’avenir de BSB en soutenant l’innovation pédagogique, l’excellence académique, la recherche appliquée et le rayonnement international); Egalité (participer à l’engagement social et sociétal défendu par BSB en aidant les étudiants et en encourageant la diversité); Entrepreneuriat (encourager un état d’esprit entrepreneurial parmi les étudiants, les diplômés, les associations, pour soutenir des projets à fort impact).

Faire un don à la Fondation BSB.

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LANCEMENT D’UNE WEB-SÉRIE DE CONFINEMENT POSITIVE

Une capsule vidéo animée par l’influenceur Nino Arial, et une série d’actions pour garder le lien entre écosystème et candidats

La situation hors-norme générée par l’épidémie de Covid-19 chamboule évidemment la société, et en son sein les grandes écoles de management qui doivent poursuivre les enseignements et assurer les examens de leurs étudiants, ainsi qu’organiser le recrutement inédit de leurs futurs élèves. BSB s’est adaptée très rapidement à cette nouvelle donne et, fidèle à ses valeurs de proximité, d’engagement, d’innovation et de solidarité, déploie cette semaine un dispositif relationnel avec l’ensemble de son écosystème (étudiants, candidats, diplômés, partenaires, etc.). Au menu notamment : une web-série décalée et humoristique, “Confinement. Finement Con.”, en partenariat avec l’influenceur à succès Nino Arial (photo), pour apporter un peu de légèreté en ces temps complexes.

La web-série “Confinement. Finement Con.”, parenthèse légère sur et pour les réseaux

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BSB, ou Better than Staying in Bed… Tel est le credo de la web-série lancée par l’Ecole ce mercredi 8 avril, qui proposera une trentaine d’épisodes d’environ une minute ces prochaines semaines. Ils seront diffusés sur les réseaux InstagramFacebook et YouTube.

Pas facile de retourner chez ses parents, de se motiver à réviser, de suivre les cours en ligne, de continuer à aller sur Tinder pendant le confinement… “Confinement. Finement Con.” suit le quotidien d’un personnage délirant, confronté comme tous les étudiants à cette situation et vivant les mêmes problématiques qu’eux… Ce personnage est joué par Nino Arial, jeune influenceur à succès (1,5 millions d’abonnés sur l’ensemble de ses réseaux sociaux).

Nous souhaitons offrir à notre écosystème, et en particulier à nos élèves, une petite parenthèse humoristique et légère qui évoque la situation présente, pour la dédramatiser, sans tomber dans le moralisme ou quelque chose de gratuit“, explique Sandrine Reboud, Directrice Marketing & Communication de BSB. “C’est aussi l’occasion de faire rayonner l’ambiance de notre Ecole et son côté friendly sur le web, dans un contexte où les oraux n’auront pas lieu et donc que les candidats n’auront pas l’occasion de venir à notre rencontre, sur nos campus. Cette capsule créé une proximité et un dialogue avec les jeunes et nous permet de rester cohérents avec nos engagements et notre positionnement.

Visionner le premier épisode

Des initiatives de partage et de solidarité

BSB s’est adaptée très rapidement à la crise du Covid-19, créant dès la première semaine de confinement 259 modules en distanciel pour assurer la continuité pédagogique, ce qui a consisté à basculer 6000 heures de cours en e-learning et de réaliser l’équivalent de 3000 séances de cours. Un tour de force pour une école dont la philosophie pédagogique de proximité est centrée sur la salle de cours, le présentiel et de petits effectifs, et pour laquelle le e-learning ne vient traditionnellement qu’en appoint. Au-delà de ce travail colossal qui a mobilisé l’ensemble des professeurs et des équipes techniques, des prises de paroles régulières ont lieu sur les réseaux, comme celles des Stéphan Bourcieu, DG de BSB.

A partir de cette semaine est déployé un dispositif relationnel élargi, où il s’agit à la fois de continuer à s’engager auprès des étudiants avec du contenu académique et parfois divertissant, et aussi plus largement auprès de l’ensemble des communautés BSB et des candidats, avec de l’information, des conseils, des expertises, des analyses et des initiatives solidaires.

Nous souhaitons rester dans une logique de partage“, détaille Sandrine Reboud. “L’accompagnement individualisé se poursuit à distance pour nos étudiants, et notre Team Admissibles est sur le pont pour répondre à toutes les interrogations de nos candidats. Nous allons diffuser des séries de podcasts vidéos et audio, des interviews, interventions et témoignages qui laisseront la parole à nos professeurs, diplômés, étudiants et membres de notre communauté, et aborderont de vastes sujets, instructifs et inspirants. Par ailleurs nous inculquons en permanence à nos étudiants les valeurs d’ouverture et de solidarité, essentielles pour devenir des acteurs du changement : c’est donc tout naturellement que nous relaierons et appellerons chaque semaine à des actions solidaires et caritatives. Comme depuis 2016, nous profitons des services de l’agence lyonnaise Hula Hoop pour nous aider à orchestrer tout ce dispositif.

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